Et voilà nous sommes déjà à la dernière lettre de ce #challengeAZ. Pour l'illustrer, je vais vous reparler des fameux mariages de ma quadrisaïeule Julie qui s'est mariée tour à tour avec deux frères dans un écart de temps assez restreint. Il se trouve que ces deux hommes sont nés à Zimming.
Situé en Lorraine et plus précisément en Moselle, cette commune a forcément changé souvent de nom au cours de l'histoire au gré de ses passages entre la France et l'Allemagne. C'est durant le Second Empire, sûrement vers la moitié du 19ème siècle que les frangins sont venus dans l'Oise à un moment où le département, créé à la Révolution Française, subit de nombreuses modifications au fil des traités.
C'est donc ici, en Moselle, que se terminent les différents voyages que nous avons fait ensemble tout au long des billets que vous avez lu, je l'espère, avec plaisir.
Passionné de généalogie depuis des années, je vous invite à venir découvrir ma vision de la généalogie au travers d'articles, d'interviews, de chroniques familiales...etc...
lundi 30 juin 2014
samedi 28 juin 2014
#challengeAZ - Y comme...dans beaucoup d'endroits
On continue avec les lettres difficiles dans le #challengeAZ avec le tant redouté Y et autant vous le dire de suite, il ne m'est pas venu beaucoup d'idées spontanément mais en cherchant, je me suis rendu compte que même si aucune ville dans ma généalogie ne commence par cette lettre-là, c'est une lettre qui apparait dans beaucoup.
Pour commencer, il y a toutes celles dont j'ai parlé dans des billets pendant le mois que dure ce challenge : Genouilly, Gracay, Maray, Origny Sainte-Benoîte, Brétigny-sur-Orge, Vitry-sur-Seine.
Ceci dit il y en a bien d'autres : Aubigny-au-Bac dans le Nord, commune très présente au sein de mon histoire familiale et dont je parle dans l'article sur Origny Sainte-Benoîte, Clavy-Warby dans les Ardennes où est né Augustin Delphin Riveret mon sosa 30 ou encore Le Fréty, toujours dans les Ardennes, ou est né le père d'Augustin Delphin et qui s'appelait Claude Narcisse, tous les deux ayant été notamment savonnier.
J'aurais pu aussi parler de Massay ou de Preuilly dans le Cher mais il faut tout de même que je garde de la matière pour les prochains challenges (-;
Pour commencer, il y a toutes celles dont j'ai parlé dans des billets pendant le mois que dure ce challenge : Genouilly, Gracay, Maray, Origny Sainte-Benoîte, Brétigny-sur-Orge, Vitry-sur-Seine.
Ceci dit il y en a bien d'autres : Aubigny-au-Bac dans le Nord, commune très présente au sein de mon histoire familiale et dont je parle dans l'article sur Origny Sainte-Benoîte, Clavy-Warby dans les Ardennes où est né Augustin Delphin Riveret mon sosa 30 ou encore Le Fréty, toujours dans les Ardennes, ou est né le père d'Augustin Delphin et qui s'appelait Claude Narcisse, tous les deux ayant été notamment savonnier.
J'aurais pu aussi parler de Massay ou de Preuilly dans le Cher mais il faut tout de même que je garde de la matière pour les prochains challenges (-;
vendredi 27 juin 2014
#challengeAZ : X comme Xxx
La généalogie est faite de trouvailles et de découvertes multiples et variées mais il faut bien reconnaître qu'elle contient aussi des mystères quelquefois quasiment ou pour ne pas dire totalement irrésolubles. Lorsque cela arrive et que je suis confronté à un enfant né d'un parent inconnu par exemple, j'utilise le terme Xxx pour nommer ce géniteur dissimulé au sein de mon arbre généalogique d'où le titre de ce billet.
Et ce Xxx représente tous les endroits dont je suis originaire; des origines que je ne découvrirais certainement jamais car comme tout, les recherches généalogiques ont aussi leurs limites. Peut-être ai-je des ancêtres dans le pays basque ou en région bretonne et peut-être que du coup, je l'ignorerais toujours. Mon grand-père paternel est né de père inconnu et son grand-père maternel aussi : autant de questions sans réponses et autant d'origines cachées en somme.
Je vous l'accorde cet article n'est pas très gai ni positif mais il aborde un aspect de la généalogie assez peu abordé en règle générale et puis bon, la lettre X, faut en avoir de l'imagination pour trouver des idées, vous ne trouvez pas ?
Et ce Xxx représente tous les endroits dont je suis originaire; des origines que je ne découvrirais certainement jamais car comme tout, les recherches généalogiques ont aussi leurs limites. Peut-être ai-je des ancêtres dans le pays basque ou en région bretonne et peut-être que du coup, je l'ignorerais toujours. Mon grand-père paternel est né de père inconnu et son grand-père maternel aussi : autant de questions sans réponses et autant d'origines cachées en somme.
Je vous l'accorde cet article n'est pas très gai ni positif mais il aborde un aspect de la généalogie assez peu abordé en règle générale et puis bon, la lettre X, faut en avoir de l'imagination pour trouver des idées, vous ne trouvez pas ?
jeudi 26 juin 2014
#challengeAZ - W comme Wasquehal
Après avoir visité des communes comme Estrun et Roubaix, nous revoilà dans le nord de la France pour une des lettres les plus difficiles de ce #challengeAZ : j'ai nommé le W. Et nous allons à Wasquehal.
Présente près d'une quarantaine de fois dans ma généalogie personnelle, Wasquehal ( que l'on peut prononcer de plusieurs façons ) est une commune du département du Nord situé à à peine quelques kilomètres de la frontière belge et d'ailleurs certains de mes ancêtres qui y ont vécu sont justement nés en Belgique.
Voilà, je suis enfin débarassé de la lettre W qui fait tant peur aux participants de ce challenge et je reviens demain pour la lettre X, enfin si je trouve quelque chose (:
Présente près d'une quarantaine de fois dans ma généalogie personnelle, Wasquehal ( que l'on peut prononcer de plusieurs façons ) est une commune du département du Nord situé à à peine quelques kilomètres de la frontière belge et d'ailleurs certains de mes ancêtres qui y ont vécu sont justement nés en Belgique.
Voilà, je suis enfin débarassé de la lettre W qui fait tant peur aux participants de ce challenge et je reviens demain pour la lettre X, enfin si je trouve quelque chose (:
mercredi 25 juin 2014
#challengeAZ - V comme Vatan
Je vous vois venir mais non je ne ferais pas de jeux de mots avec Vatan c'est promis. Nous allons donc rentrer tout de suite dans le vif du sujet : on trouve cette commune dans le Berry dans le département de l'Indre et son nom qui peut prêter à sourire viendrait de la contraction de "vaste étang".
Mon sosa 594, décédé à Genouilly, Clément Montigny, y est né en 1676 tout comme sa soeur Anne née 2 ans avant lui et son frère Mathieu né 2 ans après lui. Ses parents, Laurian et Estiennette Bailly, s'y sont mariés en 1672 et sa mère y est décédée en 1694. La petite ville berrichonne a deux paroisses : Saint-Christophe et Saint-Laurian, c'est à Saint-Laurian que tout ceci s'est passé et pour la petite anecdote, l'acte de baptême de Clément a été rédigé par le curé de la paroisse voisine de Saint-Christophe en l'absence du curé de la paroisse de Saint-Laurian.
Vatan est présent également à deux autres reprises au sein de mon arbre généalogique et sa dénomination me fera, je pense, toujours autant rire. Pas vous ? (:
Mon sosa 594, décédé à Genouilly, Clément Montigny, y est né en 1676 tout comme sa soeur Anne née 2 ans avant lui et son frère Mathieu né 2 ans après lui. Ses parents, Laurian et Estiennette Bailly, s'y sont mariés en 1672 et sa mère y est décédée en 1694. La petite ville berrichonne a deux paroisses : Saint-Christophe et Saint-Laurian, c'est à Saint-Laurian que tout ceci s'est passé et pour la petite anecdote, l'acte de baptême de Clément a été rédigé par le curé de la paroisse voisine de Saint-Christophe en l'absence du curé de la paroisse de Saint-Laurian.
Vatan est présent également à deux autres reprises au sein de mon arbre généalogique et sa dénomination me fera, je pense, toujours autant rire. Pas vous ? (:
mardi 24 juin 2014
#challengeAZ - U comme Une capitale : Paris
Comme pour Gracay, j'ai fait un peu dans la "triche" mais aucune ville ne commence par un U au sein de mon arbre généalogique et, même si je suis marseillais, il aurait été inconcevable de ne pas parler de la capitale française dans ce #challengeAZ que j'ai placé sous le signe des endroits où ont vécu mes ancêtres.
Tout d'abord, il y a mon grand-père paternel qui est né en 1933 dans le 13éme arrondissement de paris sur la rive gauche de la Seine. A cette époque-là, sa mère, prénommée Germaine, vit un peu plus au nord dans le 3éme arrondissement où se situe le célèbre quartier du Marais et où sa mère, Emilie Rossignol, a vu le jour en 1874 alors qu'elle-même est née un peu plus au sud-est de la localité dans le 6éme arrondissement. Ses parents, Eugène Gaston Rhit et Emilie, ont "navigué" tout au long de leurs vies entre les 1er, 2éme et 3éme arrondissements dans ce qu'on pourrait appeler le coeur historique de Paris. Quant aux parents d'Emilie qui s'appelaient Louis Etienne et Catherine Zindt, ils étaient marchands de chaussures et tenaient un magasin dans la Rue des Halles dont la construction a été terminée 4 ans avant la naissance d'Emilie en 1870.
D'autres ancêtres un peu plus éloignés ont vécu aussi dans cette ville mais j'ai préféré me concentrer sur mes sosas pour ce billet où on peut remarquer qu'ils ont vécu plutôt dans le centre de Paris.
Tout d'abord, il y a mon grand-père paternel qui est né en 1933 dans le 13éme arrondissement de paris sur la rive gauche de la Seine. A cette époque-là, sa mère, prénommée Germaine, vit un peu plus au nord dans le 3éme arrondissement où se situe le célèbre quartier du Marais et où sa mère, Emilie Rossignol, a vu le jour en 1874 alors qu'elle-même est née un peu plus au sud-est de la localité dans le 6éme arrondissement. Ses parents, Eugène Gaston Rhit et Emilie, ont "navigué" tout au long de leurs vies entre les 1er, 2éme et 3éme arrondissements dans ce qu'on pourrait appeler le coeur historique de Paris. Quant aux parents d'Emilie qui s'appelaient Louis Etienne et Catherine Zindt, ils étaient marchands de chaussures et tenaient un magasin dans la Rue des Halles dont la construction a été terminée 4 ans avant la naissance d'Emilie en 1870.
D'autres ancêtres un peu plus éloignés ont vécu aussi dans cette ville mais j'ai préféré me concentrer sur mes sosas pour ce billet où on peut remarquer qu'ils ont vécu plutôt dans le centre de Paris.
lundi 23 juin 2014
#challengeAZ - T comme Tincques
Une nouvelle fois, comme dans le billet sur Novion-Porcien concernant la lettre N du #challengeAZ, je vais de nouveau répondre avec clarté à cette question que l'on pose si souvent aux généalogistes que nous sommes: "Tu es remonté jusqu'où?" en évoquant une branche de mon arbre que j'ai remonté jusqu'à ma sosa 3073 Marie Jeanne Desbuisson décédée en 1705 à Tincques.
Commune se situant dans le Nord-Pas-de-Calais et plus précisément dans l'Artois, elle a la particularité d'avoir eu son "moment de gloire" malgré sa petite taille ( un petit peu plus de 10 km2 ) en apparaissant de manière très brève dans le roman "Les Misérables" écrit par le talentueux Victor Hugo.
En répondant encore une fois à cette fameuse question que tous les généalogistes entendent au moins une fois dans leur vie, je continue à encourager ceux qui la posent à continuer à la poser : est-ce vraiment raisonnable ?
Commune se situant dans le Nord-Pas-de-Calais et plus précisément dans l'Artois, elle a la particularité d'avoir eu son "moment de gloire" malgré sa petite taille ( un petit peu plus de 10 km2 ) en apparaissant de manière très brève dans le roman "Les Misérables" écrit par le talentueux Victor Hugo.
En répondant encore une fois à cette fameuse question que tous les généalogistes entendent au moins une fois dans leur vie, je continue à encourager ceux qui la posent à continuer à la poser : est-ce vraiment raisonnable ?
samedi 21 juin 2014
#challengeAZ - S comme Saint Outrille
Je vous ai parlé à maintes reprises de mon ancêtre Simon Rhit mais je me rends compte que j'ai très peu parlé de sa deuxième femme Marie-Louise Petat avec qui il s'est uni en 1826 et qui est ma sosa 75.
Domestique puis ménagère, elle s'est mariée et est décédée à Genouilly mais elle a vu le jour en 1803 à Saint Outrille, commune se situant dans le département du Cher et qui, comme Gracay, a changé de nom pendant la Révolution pour prendre le nom de "l'Egalité". Ses parents, François et Anne Plessard, cultivateur et ménagère, ont vécu à cet endroit tout comme ceux de François et ceux de la mère de ce dernier.
On remonte donc comme cela jusqu'à la fin du 17éme siècle et lundi, nous irons remonter le temps beaucoup plus au nord.
Domestique puis ménagère, elle s'est mariée et est décédée à Genouilly mais elle a vu le jour en 1803 à Saint Outrille, commune se situant dans le département du Cher et qui, comme Gracay, a changé de nom pendant la Révolution pour prendre le nom de "l'Egalité". Ses parents, François et Anne Plessard, cultivateur et ménagère, ont vécu à cet endroit tout comme ceux de François et ceux de la mère de ce dernier.
On remonte donc comme cela jusqu'à la fin du 17éme siècle et lundi, nous irons remonter le temps beaucoup plus au nord.
vendredi 20 juin 2014
#challengeAZ - R comme Roubaix
Autant il y a eu des lettres où j'ai dû me prendre la tête pour trouver des idées, autant sur ce coup-là, pour la lettre R de ce #challengeAZ, l'idée m'est venue comme une évidence : la ville de Roubaix située au nord de la France à quelques encablures de la Belgique est présente à plus d'une centaine de reprises au sein de ma généalogie.
En premier lieu, pour vous démontrer toute l'importance de ce lieu dans mon histoire familiale, ma mère y est née à l'été 1958. Alors que du côté de mon grand-père maternel ( qui est décédé à Roubaix ), on se retrouve assez rapidement du côté d'Aubigny au Bac, c'est du côté de ma grand-mère maternel avec qui il s'est marié à Roubaix qu'on va retrouver ces ancêtres qui ont vécu à Roubaix. Même si en remontant ces branches, on se retrouve quelquefois en Belgique ou dans les Ardennes notamment, il existe une ligne directrice roubaisienne assez importante au sein même de ma généalogie. Chamareuses, couturiéres ou tisserand(e)s, mes ancêtres ayant vécu là-bas ont su profiter du fait que la ville a longtemps été une des capitales de l'industrie textile.
Dommage que toutes les lettres ne soient pas aussi faciles mais quelque part c'est aussi la difficulté que l'on peut rencontrer quelquefois qui fait aussi le charme du #challengeAZ, non ? (;
En premier lieu, pour vous démontrer toute l'importance de ce lieu dans mon histoire familiale, ma mère y est née à l'été 1958. Alors que du côté de mon grand-père maternel ( qui est décédé à Roubaix ), on se retrouve assez rapidement du côté d'Aubigny au Bac, c'est du côté de ma grand-mère maternel avec qui il s'est marié à Roubaix qu'on va retrouver ces ancêtres qui ont vécu à Roubaix. Même si en remontant ces branches, on se retrouve quelquefois en Belgique ou dans les Ardennes notamment, il existe une ligne directrice roubaisienne assez importante au sein même de ma généalogie. Chamareuses, couturiéres ou tisserand(e)s, mes ancêtres ayant vécu là-bas ont su profiter du fait que la ville a longtemps été une des capitales de l'industrie textile.
Dommage que toutes les lettres ne soient pas aussi faciles mais quelque part c'est aussi la difficulté que l'on peut rencontrer quelquefois qui fait aussi le charme du #challengeAZ, non ? (;
jeudi 19 juin 2014
#challengeAZ - Q comme Quais de gare
Problème de taille avec la lettre Q : il n'y a aucune commune présente dans ma généalogie qui commence par la lettre Q. Il a donc fallu que je me creuse la tête pour pouvoir trouver une idée et celle qui m'est venue est de vous parler des quais de gare sur lesquels ont déambulé des membres de ma généalogie en tant que cheminots.
Vous vous souvenez sûrement de Simon Rhit ? Celui-ci a eu un fils prénommé Louis François qui a eu lui-même un enfant de sexe masculin : Etienne né le 23 octobre 1871 à Genouilly. En 1897, il se marie à Paris avec Anne Delmont et il exerce à ce moment-là la profession d'employé de chemin de fer qu'il exercera jusqu'en 1939 au moins. Il a habité tour à tour à la rue du Chevaleret et à la rue Dunois à Paris à deux pas de la Gare d'Austerlitz ainsi qu'à la rue de Cossigny à Brétigny sur Orge non loin de la gare de la ville. Son fils, André Louis, qui a vu le jour à Paris en 1901, a sévi dans le même métier et il a habité lui aussi à la rue de Cossigny à Brétigny sur Orge mais également à Vitry sur Seine à l'avenue Albert Thomas et vous vous doutez certainement que cette adresse se situe assez près de la gare de cette commune.
Voilà, j'ai réussi à bien m'en sortir avec la lettre Q (: et je suis tranquille jusqu'à la lettre W sachant que j'ai déjà 2 ou 3 petites idées pour celle-là.
Vous vous souvenez sûrement de Simon Rhit ? Celui-ci a eu un fils prénommé Louis François qui a eu lui-même un enfant de sexe masculin : Etienne né le 23 octobre 1871 à Genouilly. En 1897, il se marie à Paris avec Anne Delmont et il exerce à ce moment-là la profession d'employé de chemin de fer qu'il exercera jusqu'en 1939 au moins. Il a habité tour à tour à la rue du Chevaleret et à la rue Dunois à Paris à deux pas de la Gare d'Austerlitz ainsi qu'à la rue de Cossigny à Brétigny sur Orge non loin de la gare de la ville. Son fils, André Louis, qui a vu le jour à Paris en 1901, a sévi dans le même métier et il a habité lui aussi à la rue de Cossigny à Brétigny sur Orge mais également à Vitry sur Seine à l'avenue Albert Thomas et vous vous doutez certainement que cette adresse se situe assez près de la gare de cette commune.
Voilà, j'ai réussi à bien m'en sortir avec la lettre Q (: et je suis tranquille jusqu'à la lettre W sachant que j'ai déjà 2 ou 3 petites idées pour celle-là.
mercredi 18 juin 2014
#challengeAZ - O et P comme Origny Sainte Benoîte en Picardie
Une fois n'est pas coutume, hier je n'ai pas pu honorer d'un billet la lettre O du #challengeAZ. Qu'à cela ne tienne ! Je vous offre aujourd'hui deux lettres en un seul article : le O et le P pour Origny Sainte Benoîte en Picardie ( dans l'Aisne pour être exact ), commune de naissance de mon arrière-arrière-grand-mère Catherine Dumont.
Pourquoi vous parlez aujourd'hui de cet événement présent au sein de ma généalogie ? Tout simplement car cette venue au monde en cette ville, située dans l'arrondissement de Saint-Quentin, relève un peu du mystère : ses parents sont nés, se sont mariés et sont morts à Aubigny-au-Bac à environ 60 kilomètres de là tout comme ses grand-parents ( à l'exception de son grand-père paternel décédé à Reims ) et elle-même s'y est mariée et y a donné naissance à ses enfants. Mais alors que faisait sa mère si loin du village familial à ce moment-là ? Selon l'acte de naissance de Catherine, elle était ""en voyage" chez le Sieur Francois Nicolas Coulon".
Je ne l'ai pas encore fait mais il va falloir que je me penche sur ce monsieur Coulon pour essayer d'obtenir des informations sur lui et pourquoi pas en savoir plus sur ce fameux voyage et savoir pourquoi un petit bout de ma généalogie se situe en à Origny Sainte Benoîte en Picardie.
Pourquoi vous parlez aujourd'hui de cet événement présent au sein de ma généalogie ? Tout simplement car cette venue au monde en cette ville, située dans l'arrondissement de Saint-Quentin, relève un peu du mystère : ses parents sont nés, se sont mariés et sont morts à Aubigny-au-Bac à environ 60 kilomètres de là tout comme ses grand-parents ( à l'exception de son grand-père paternel décédé à Reims ) et elle-même s'y est mariée et y a donné naissance à ses enfants. Mais alors que faisait sa mère si loin du village familial à ce moment-là ? Selon l'acte de naissance de Catherine, elle était ""en voyage" chez le Sieur Francois Nicolas Coulon".
Je ne l'ai pas encore fait mais il va falloir que je me penche sur ce monsieur Coulon pour essayer d'obtenir des informations sur lui et pourquoi pas en savoir plus sur ce fameux voyage et savoir pourquoi un petit bout de ma généalogie se situe en à Origny Sainte Benoîte en Picardie.
lundi 16 juin 2014
#challengeAZ - N comme Novion-Porcien
Début 2013, j'avais écrit un article sur les questions que l'on pose le plus souvent aux généalogistes et l'une d'elles est : "Tu es remonté jusqu'où?". En général, il y a tellement de branches que l'on remonte dans un arbre généalogique qu'il est compliqué de répondre à cette interrogation si souvent émise mais pour une fois j'accepte d'y répondre avec clarté à l'occasion de l'évocation de la lettre N du #challengeAZ : il y a une branche où je suis remonté jusqu'à mon sosa 122 qui n'est autre que Joseph Morelle né vers la fin du 18éme siécle à Novion-Porcien.
Cette commune au nom un peu surprenant située dans le département des Ardennes a été le lieu où mon ancêtre berger est né et où il a aussi fini sa vie durant l'été caniculaire de 1822 avec des vendanges qui avaient débuté très tôt à la fin du mois d'août. Sa femme, Anne Françoise Jannessaux, y a aussi donné naissance à leur fille, Jeanne Marie ( qui portait le nom de Morel avec donc une orthographe différente de celle de son père ), en mars 1815 qu'il n'aura donc pas vraiment le temps de voir grandir.
Je réponds donc à cette question que les généalogistes ont tant et tant entendu au cours de leur existence pour le plus grand bonheur, je l'espère, de ceux qui la posent sans arrêt mais est-ce vraiment une bonne idée ? Je vais les encourager à redemander encore et encore, non ?
Cette commune au nom un peu surprenant située dans le département des Ardennes a été le lieu où mon ancêtre berger est né et où il a aussi fini sa vie durant l'été caniculaire de 1822 avec des vendanges qui avaient débuté très tôt à la fin du mois d'août. Sa femme, Anne Françoise Jannessaux, y a aussi donné naissance à leur fille, Jeanne Marie ( qui portait le nom de Morel avec donc une orthographe différente de celle de son père ), en mars 1815 qu'il n'aura donc pas vraiment le temps de voir grandir.
Je réponds donc à cette question que les généalogistes ont tant et tant entendu au cours de leur existence pour le plus grand bonheur, je l'espère, de ceux qui la posent sans arrêt mais est-ce vraiment une bonne idée ? Je vais les encourager à redemander encore et encore, non ?
samedi 14 juin 2014
#challengeAZ - M comme Maray
Nous revoilà donc dans le Berry, terre d'origine des Rhit et d'apparemment certains de mes amis généablogueurs avec qui j'ai peut-être, allez savoir, des liens de parentés. Aujourd'hui, c'est à Maray que nous allons nous rendre.
Village du Loir-et-Cher qui n'a jamais compté plus de 650 habitants, cette commune n'est pas forcément la plus présente dans ma généalogie mais elle a vu naître mon sosa 74, Rhit Simon, dont je vous ai déjà parlé sur ce blog à l'occasion du #geneatheme du mois de janvier portant sur les épines généalogiques. Il y est né et y a été baptisé en 1787 suite au mariage un an auparavant en cet endroit même de son père, Simon, avec Rose Doloire. Rose qui est ma sosa 149, est née à Thénioux ( je cherche encore malheureusement à mettre la main sur son acte de baptême ) mais ses parents, eux, sont décédés à Maray. Elle y a aussi donné naissance à trois des quatre enfants qu'elle a eus avec son deuxième mari, Pierre Douzami qui n'est autre que le père de Perpetue Douzamy ( née également à Maray ) qu'il a eu d'un autre mariage; Perpetue ayant été la femme de Simon Rhit, mon sosa 74, personne que j'ai évoqué au début de ce billet.
Voilà, la boucle est bouclée, on se retrouve demain ( ben non c'est dimanche demain je vous ai bien eu (: ). Donc on se retrouve lundi et je n'ai pas encore décidé où on va mais j'y travaille croyez-moi.
Village du Loir-et-Cher qui n'a jamais compté plus de 650 habitants, cette commune n'est pas forcément la plus présente dans ma généalogie mais elle a vu naître mon sosa 74, Rhit Simon, dont je vous ai déjà parlé sur ce blog à l'occasion du #geneatheme du mois de janvier portant sur les épines généalogiques. Il y est né et y a été baptisé en 1787 suite au mariage un an auparavant en cet endroit même de son père, Simon, avec Rose Doloire. Rose qui est ma sosa 149, est née à Thénioux ( je cherche encore malheureusement à mettre la main sur son acte de baptême ) mais ses parents, eux, sont décédés à Maray. Elle y a aussi donné naissance à trois des quatre enfants qu'elle a eus avec son deuxième mari, Pierre Douzami qui n'est autre que le père de Perpetue Douzamy ( née également à Maray ) qu'il a eu d'un autre mariage; Perpetue ayant été la femme de Simon Rhit, mon sosa 74, personne que j'ai évoqué au début de ce billet.
Voilà, la boucle est bouclée, on se retrouve demain ( ben non c'est dimanche demain je vous ai bien eu (: ). Donc on se retrouve lundi et je n'ai pas encore décidé où on va mais j'y travaille croyez-moi.
vendredi 13 juin 2014
#challengeAZ - L comme Lewarde
Comme promis hier, nous effectuons aujourd'hui quelques kilomètres pour dépasser la frontière et revenir en France, plus précisément à Lewarde, ville se situant dans le département Nord dans l'arrondissement de Douai.
C'est ma sosa 193, Lengrand Albertine Joseph qui y est née en 1762. C'est la plus récente naissance d'un de mes sosas dans cette commune car en 1785, cette dernière s'est mariée à Lewarde avec Bray Pierre Joseph ( qui est donc mon sosa 192 ) qui a vu le jour à quelques kilomètres de là à Cantin, où Albertine Joseph ira vivre puis déceder en 1804. Fileuse de métier, tout comme sa mère qui a passé toute sa vie à Lewarde, elle ont sûrement profité de l'essor de l'industrie textile dans la région à cette époque. On retrouve des traces de mes ancêtres dans cette commune jusqu'à la moitié du 17éme siècle.
Le voyage continue demain et nous allons faire un voyage un peu plus loin ce coup-ci pour retourner dans une région que vous commencez aussi à bien connaître : le Berry.
C'est ma sosa 193, Lengrand Albertine Joseph qui y est née en 1762. C'est la plus récente naissance d'un de mes sosas dans cette commune car en 1785, cette dernière s'est mariée à Lewarde avec Bray Pierre Joseph ( qui est donc mon sosa 192 ) qui a vu le jour à quelques kilomètres de là à Cantin, où Albertine Joseph ira vivre puis déceder en 1804. Fileuse de métier, tout comme sa mère qui a passé toute sa vie à Lewarde, elle ont sûrement profité de l'essor de l'industrie textile dans la région à cette époque. On retrouve des traces de mes ancêtres dans cette commune jusqu'à la moitié du 17éme siècle.
Le voyage continue demain et nous allons faire un voyage un peu plus loin ce coup-ci pour retourner dans une région que vous commencez aussi à bien connaître : le Berry.
jeudi 12 juin 2014
#challengeAZ - K comme Kain
La lettre K fait partie de ces lettres que l'on redoute dans le désormais mondialement célébrissime #challengeAZ. Mais je ne me suis pas laissé impressionner et je profite de l'occasion pour vous ramener en Belgique une nouvelle fois.
Dans mon article où je parlais donc du plat pays, je vous avais dit que mes racines wallonnes provenaient notamment de Tournai et d'Ath. Et dans mon billet sur le Hainaut, je vous avais parlé de Jean Felix Joseph Dion, arrière-grand-père de mon arrière-grand-père, qui a connu la création de la province du Hainaut sous l'occupation française en 1800. Il se trouve que ce dernier s'est marié en 1818 avec Augustine Joseph Deschamps qui est née en 1791 dans la ville de Kain. Cela n'a rien d'étonnant quand on sait que ce village était voisin à la ville de Tournai jusqu'à ce que les deux soient réunis en 1977 pour ne former qu'une seule et même ville. Le père d'Augustine Joseph avait un métier que certains vont sûrement qualifier de typiquement belge : débitant de bière (-:, là aussi rien d'étonnant puisque le lieu a hébergé de nombreuses distilleries et brasseries.
Pour demain, nous allons parcourir quelques kilomètres, dépasser la frontière et revenir en France même si apparemment, chez certains, actuellement, la mode est de faire le contraire (-:
Dans mon article où je parlais donc du plat pays, je vous avais dit que mes racines wallonnes provenaient notamment de Tournai et d'Ath. Et dans mon billet sur le Hainaut, je vous avais parlé de Jean Felix Joseph Dion, arrière-grand-père de mon arrière-grand-père, qui a connu la création de la province du Hainaut sous l'occupation française en 1800. Il se trouve que ce dernier s'est marié en 1818 avec Augustine Joseph Deschamps qui est née en 1791 dans la ville de Kain. Cela n'a rien d'étonnant quand on sait que ce village était voisin à la ville de Tournai jusqu'à ce que les deux soient réunis en 1977 pour ne former qu'une seule et même ville. Le père d'Augustine Joseph avait un métier que certains vont sûrement qualifier de typiquement belge : débitant de bière (-:, là aussi rien d'étonnant puisque le lieu a hébergé de nombreuses distilleries et brasseries.
Pour demain, nous allons parcourir quelques kilomètres, dépasser la frontière et revenir en France même si apparemment, chez certains, actuellement, la mode est de faire le contraire (-:
mercredi 11 juin 2014
#challengeAZ - J comme Jura
Ceux qui connaissent bien ma généalogie ou du moins mon blog parmi vous ( si jamais il y en a ) savent que j'ai des ancêtres dans beaucoup d'endroits dans notre beau pays qu'est la France mais je répondrais à ceux qui me le diront que je n'en ai pas dans le Jura qui est un des quatre départements qui composent la région Franche-Comté.
La raison pour laquelle je vous parle de cet endroit se situant dans l'est de l'hexagone, c'est parce qu'il se trouve que, notamment, via les sites Bigenet et Doubs Généalogie, j'ai pu trouver des Rhit ( quelquefois orthographié Rith ) qui ont vécu dans cette partie géographique principalement à la fin du 18éme siècle. Mon nom de famille étant un patronyme très peu répandu, j'ai toujours pensé qu'un lien pouvait exister avec mes ancêtres du Berry; je n'ai jamais vraiment pu prendre le temps de le vérifier mais je sais que je vais me consacrer pleinement à la résolution de cette énigme généalogique un jour ou l'autre.
Voilà ce qu'il en est pour ce billet un peu particulier. Ce qui est sûr, c'est que je vous tiendrais au courant des résultats de ma recherche dés que je les aurais mais un conseil : soyez patients (-:
La raison pour laquelle je vous parle de cet endroit se situant dans l'est de l'hexagone, c'est parce qu'il se trouve que, notamment, via les sites Bigenet et Doubs Généalogie, j'ai pu trouver des Rhit ( quelquefois orthographié Rith ) qui ont vécu dans cette partie géographique principalement à la fin du 18éme siècle. Mon nom de famille étant un patronyme très peu répandu, j'ai toujours pensé qu'un lien pouvait exister avec mes ancêtres du Berry; je n'ai jamais vraiment pu prendre le temps de le vérifier mais je sais que je vais me consacrer pleinement à la résolution de cette énigme généalogique un jour ou l'autre.
Voilà ce qu'il en est pour ce billet un peu particulier. Ce qui est sûr, c'est que je vous tiendrais au courant des résultats de ma recherche dés que je les aurais mais un conseil : soyez patients (-:
mardi 10 juin 2014
#challengeAZ - I comme Il y a aussi Gracay
Comme promis, nous revoilà dans le Berry. Bon d'accord, j'ai un peu triché car Gracay ne commence pas par un I mais deux raisons m'ont poussé à commettre ce petit écart : 1- la lettre G a été prise par Genouilly et je voulais parler de Gracay, 2- je n'avais pas vraiment d'idée pour la lettre I. J'espére que vous me pardonnerez.
Tout comme Anjouin et Genouilly, deux communes évoquées dans des précédents billets, Gracay est une commune du Berry. Chef-lieu du canton de Gracay, elle se situe dans le Cher et a, pour l'anecdote, porté, pendant quelques années, le nom "La Liberté" au moment de la Révolution Française. Moins présente dans ma généalogie que les deux autres villes, elle y est tout de même citée près d'une quarantaine de fois ( essentiellement au 19éme et au 20éme siècle ) mais a la particularité de n'être associée à aucun de mes sosas.
Encore désolé pour cette petite liberté ( qui ne sera peut-être pas la dernière ) et rendez-vous demain pour un billet un peu particulier.
Tout comme Anjouin et Genouilly, deux communes évoquées dans des précédents billets, Gracay est une commune du Berry. Chef-lieu du canton de Gracay, elle se situe dans le Cher et a, pour l'anecdote, porté, pendant quelques années, le nom "La Liberté" au moment de la Révolution Française. Moins présente dans ma généalogie que les deux autres villes, elle y est tout de même citée près d'une quarantaine de fois ( essentiellement au 19éme et au 20éme siècle ) mais a la particularité de n'être associée à aucun de mes sosas.
Encore désolé pour cette petite liberté ( qui ne sera peut-être pas la dernière ) et rendez-vous demain pour un billet un peu particulier.
lundi 9 juin 2014
#challenge AZ : H comme Hainaut
Petite erreur sur mon dernier billet où je vous disais que l'article d'aujourd'hui porterait sur un lieu situé dans le Berry, en fait ce sera demain.
Dans mon billet sur la Belgique, j'avais évoqué le fait que mes racines belges sont essentiellement wallonnes ( en gros, la partie francophone du pays ) et proviennent de la province du Hainaut et plus précisément de Tournai et d'Ath par l'intermédiaire des parents de mon arrière-grand-père Louis Dion.
Située à l'ouest du plat pays et frontalière à la France, cette province compte 7 arrondissements dont ceux de Tournai ( créé en 1800 sous l'occupation française, événement que l'arrière-grand-père de Louis, Jean Felix Joseph, a vécu ) et d'Ath ( créé un peu plus tard en 1818 alors que le canton d'Ath faisait partie de l'arrondissement de Tournai 5 ans avant la naissance à Ath du grand-père maternel de Louis, Charles Louvieaux ). Il est à noter qu'autant, du côté de la branche paternelle de Louis, les gens sont nés et décédés en Belgique avant que son père ne vienne s'installer en France à Roubaix, autant du côté de sa branche maternelle, beaucoup sont venus s'installer en France avant leurs décés : à Roubaix pour certains et à Wasquehal pour d'autres.
Dans mon billet sur la Belgique, j'avais évoqué le fait que mes racines belges sont essentiellement wallonnes ( en gros, la partie francophone du pays ) et proviennent de la province du Hainaut et plus précisément de Tournai et d'Ath par l'intermédiaire des parents de mon arrière-grand-père Louis Dion.
Située à l'ouest du plat pays et frontalière à la France, cette province compte 7 arrondissements dont ceux de Tournai ( créé en 1800 sous l'occupation française, événement que l'arrière-grand-père de Louis, Jean Felix Joseph, a vécu ) et d'Ath ( créé un peu plus tard en 1818 alors que le canton d'Ath faisait partie de l'arrondissement de Tournai 5 ans avant la naissance à Ath du grand-père maternel de Louis, Charles Louvieaux ). Il est à noter qu'autant, du côté de la branche paternelle de Louis, les gens sont nés et décédés en Belgique avant que son père ne vienne s'installer en France à Roubaix, autant du côté de sa branche maternelle, beaucoup sont venus s'installer en France avant leurs décés : à Roubaix pour certains et à Wasquehal pour d'autres.
samedi 7 juin 2014
#challenge AZ - G comme Genouilly
Anjouin n'est pas la seule ville du Berry a être fortement présente dans ma généalogie, mes ancêtres ayant souvent décidé de changer de lieu de vie dans un périmètre assez restreint entre Cher et Indre, souvent pour trouver du travail.
La commune de Genouilly ( dans le Cher et non en Saône-en-Loire car il existe un homonyme ) qui est à peine d'une superficie de 35 km2 apparaît 72 fois dans ma généalogie selon le logiciel que j'utilise et à 9 reprises chez mes sosas à des endroits comme La Forêt Nouvelle, Le Lac Clair ou encore La Camusiere.
A lundi pour un nouveau billet et pour une fois, vous allez vous reposer puisque nous n'allons pas voyager car nous resterons dans le Berry.
La commune de Genouilly ( dans le Cher et non en Saône-en-Loire car il existe un homonyme ) qui est à peine d'une superficie de 35 km2 apparaît 72 fois dans ma généalogie selon le logiciel que j'utilise et à 9 reprises chez mes sosas à des endroits comme La Forêt Nouvelle, Le Lac Clair ou encore La Camusiere.
A lundi pour un nouveau billet et pour une fois, vous allez vous reposer puisque nous n'allons pas voyager car nous resterons dans le Berry.
vendredi 6 juin 2014
#challengeAZ - F comme France
Je vous l'avoue un peu honteusement, contrairement à l'année dernière, je n'ai pas trop préparé le challenge cette année et arrivé à cette lettre F, je me suis rendu compte que je ne trouvais rien pour celle-ci. Pas d'endroit marquant, pas de ville où un ancêtre important de ma généalogie a vécu, pas de lieu ayant marqué l'histoire de ma famille. Et puis la lumière est apparue : je suis français comme la plupart de mes ascendants ( il y a aussi des belges et des italiens ).
Il faut dire qu'en plus, j'ai des ancêtres qui ont vécu un peu partout dans notre beau pays que des milliers et des milliers de touristes viennent visiter chaque année : le Berry avec son canal, ses châteaux et son drapeau vert, jaune et rouge représentant les prairies, les moissons et la vigne me renvoyant à mes ancêtres journaliers, laboureurs ou cultivateurs; la capitale Paris avec ses monuments, sa grisaille et ses gares me renvoyant à mes ancêtres cheminots; le Nord-Pas-de-Calais avec son doux climat, son patrimoine architectural et son industrie textile me renvoyant à mes ancêtres tisserands ou coupeurs de chaussures tout comme son agriculture me renvoie à mes ancêtres journaliers ou ouvriers agricole ainsi que l'Algérie française avec sa copieuse gastronomie ( je vous conseille d'aller faire une sieste après avoir mangé le couscous de ma mamie ), son brassage de cultures et sa malheureuse guerre ont fait se rencontrer mes grands-parents.
Je n'ai pas l'habitude d'être chauvin et j'ai même l'habitude d'être critique envers mon pays mais pour une fois, j'ai voulu lui rendre hommage car il est la terre de naissance d'une grande part de mes ancêtres comme la mienne ou celle de mes filles.
Il faut dire qu'en plus, j'ai des ancêtres qui ont vécu un peu partout dans notre beau pays que des milliers et des milliers de touristes viennent visiter chaque année : le Berry avec son canal, ses châteaux et son drapeau vert, jaune et rouge représentant les prairies, les moissons et la vigne me renvoyant à mes ancêtres journaliers, laboureurs ou cultivateurs; la capitale Paris avec ses monuments, sa grisaille et ses gares me renvoyant à mes ancêtres cheminots; le Nord-Pas-de-Calais avec son doux climat, son patrimoine architectural et son industrie textile me renvoyant à mes ancêtres tisserands ou coupeurs de chaussures tout comme son agriculture me renvoie à mes ancêtres journaliers ou ouvriers agricole ainsi que l'Algérie française avec sa copieuse gastronomie ( je vous conseille d'aller faire une sieste après avoir mangé le couscous de ma mamie ), son brassage de cultures et sa malheureuse guerre ont fait se rencontrer mes grands-parents.
Je n'ai pas l'habitude d'être chauvin et j'ai même l'habitude d'être critique envers mon pays mais pour une fois, j'ai voulu lui rendre hommage car il est la terre de naissance d'une grande part de mes ancêtres comme la mienne ou celle de mes filles.
jeudi 5 juin 2014
#challengeAZ - E comme Estrun
A vos anoraks ! Comme annoncé dans le précédent article du #challengeAZ, nous allons partir dans le "nooooooooooord" comme dirait Michel Galabru et pour être plus précis à Estrun, un village du département du Nord se situant au confluent de l'Escaut et de la Sensée.
C'est là-bas qu'une des branches de mon arbre généalogique prend racine : mon sosa 196, le grand-père de la grand-mère du grand-père de ma mère, Bracq Arnould qui fût domestique et ménager y est décédé au début du 19éme siècle tout comme sa femme Demarcq Marie Rosalie, ménagère elle aussi. Leur fils, Jean Hubert, ménager comme eux, y est né 25 ans avant la mort de son père et 30 ans avant la disparition de sa mère. Il partira par la suite à Wasnes au Bac puis à Aubigny au Bac, ces deux communes se situant à quelques kilomètres d'Estrun.
Tout cela me fait d'ailleurs dire que c'est une branche qu'il faut que j'explore encore et pour laquelle je pense encore pouvoir avancer donc je vous laisse (; et vous dis à demain !
C'est là-bas qu'une des branches de mon arbre généalogique prend racine : mon sosa 196, le grand-père de la grand-mère du grand-père de ma mère, Bracq Arnould qui fût domestique et ménager y est décédé au début du 19éme siècle tout comme sa femme Demarcq Marie Rosalie, ménagère elle aussi. Leur fils, Jean Hubert, ménager comme eux, y est né 25 ans avant la mort de son père et 30 ans avant la disparition de sa mère. Il partira par la suite à Wasnes au Bac puis à Aubigny au Bac, ces deux communes se situant à quelques kilomètres d'Estrun.
Tout cela me fait d'ailleurs dire que c'est une branche qu'il faut que j'explore encore et pour laquelle je pense encore pouvoir avancer donc je vous laisse (; et vous dis à demain !
mercredi 4 juin 2014
#challengeAZ - D comme Donneaux
Comme promis, je vous ramène aujourd'hui dans un endroit familier puisque c'est dans la ville dont je vous ai parlé dans mon premier billet relatif à ce #challengeAZ que nous allons aller : Anjouin et plus précisément au lieu-dit Les Donneaux qui se trouve à l'est de la commune quasiment à la frontière entre l'Indre et le Cher, non loin de Genouilly.
Simon est mon sosa 74 et il est décédé à 66 ans en 1854 en ce lieu après avoir vécu à plusieurs endroits à Genouilly et à Gracay. Son fils François dont je vous ai conté la vie récemment a été noté comme un des témoins de son décès ce qui n'est pas un hasard puisqu'il vivait là-bas lui aussi à cette date-là et qu'il y est resté au moins jusqu'en 1869 après avoir pas mal bougé toute sa vie entre Anjouin et Genouilly. J'imagine que le père et le fils aîné, journaliers tous les deux, avaient décidé de se fixer à ce point-là ensemble plutôt que de continuer à déménager tous les quatre matins pour travailler. Le fils de François et donc petit-fils de Simon qui a porté le même prénom que son papa y est mort à 29 ans en 1869 et sa fille, Louise, y a élu domicile entre 1866 et 1871 après son mariage puis de nouveau entre 1876 et 1880.
Voilà, vous connaissez un petit peu mieux le coin et il n'est pas impossible qu'on revienne faire un tour dans les parages à l'occasion de ce challenge.
Simon est mon sosa 74 et il est décédé à 66 ans en 1854 en ce lieu après avoir vécu à plusieurs endroits à Genouilly et à Gracay. Son fils François dont je vous ai conté la vie récemment a été noté comme un des témoins de son décès ce qui n'est pas un hasard puisqu'il vivait là-bas lui aussi à cette date-là et qu'il y est resté au moins jusqu'en 1869 après avoir pas mal bougé toute sa vie entre Anjouin et Genouilly. J'imagine que le père et le fils aîné, journaliers tous les deux, avaient décidé de se fixer à ce point-là ensemble plutôt que de continuer à déménager tous les quatre matins pour travailler. Le fils de François et donc petit-fils de Simon qui a porté le même prénom que son papa y est mort à 29 ans en 1869 et sa fille, Louise, y a élu domicile entre 1866 et 1871 après son mariage puis de nouveau entre 1876 et 1880.
Voilà, vous connaissez un petit peu mieux le coin et il n'est pas impossible qu'on revienne faire un tour dans les parages à l'occasion de ce challenge.
mardi 3 juin 2014
#challengeAZ - C comme Constantine
Tout comme hier, je vais vous emmener hors des frontières de notre beau pays qu'est la France. Cette fois, nous allons traverser la mer Méditerranée pour aller dans un des pays du Maghreb : l'Algérie. Et plus précisément à Constantine qui a plusieurs surnoms : la ville des ponts suspendus, la ville du vieux rocher ou encore la ville des aigles.
Cet endroit qui se trouve au nord-est de l'Algérie a vu naître mon père ainsi qu'un de ces quatre frères et une de ces deux soeurs. Ma grand-mère paternelle y est née tout comme son père, Liaou qui fût menuisier et son grand-père, Isaac, un musicien employé de commerce. En ce qui concerne Isaac, c'est un peu la même chose puisque ses parents ( Fredj, brocanteur/cordonnier et Mamah Chamak sans profession ) et sa femme Aziza Guedj, qui a exercé la profession de couturière, ont vécu également dans cette commune. Je pourrais continuer la liste mais cela risque d'être assez long et fastidieux mais je pense que vous avez compris que mes ancêtres ont longtemps erré dans les rues de cette cité qui fût la capitale des rois numides.
Encore une fois, ma généalogie nous a emmené hors de nos frontières, je l'espère, pour votre plus grand plaisir mais ne vous y habituez pas trop car demain, nous revenons dans l'hexagone dans un endroit qui vous est normalement déjà un peu familier (-;
Cet endroit qui se trouve au nord-est de l'Algérie a vu naître mon père ainsi qu'un de ces quatre frères et une de ces deux soeurs. Ma grand-mère paternelle y est née tout comme son père, Liaou qui fût menuisier et son grand-père, Isaac, un musicien employé de commerce. En ce qui concerne Isaac, c'est un peu la même chose puisque ses parents ( Fredj, brocanteur/cordonnier et Mamah Chamak sans profession ) et sa femme Aziza Guedj, qui a exercé la profession de couturière, ont vécu également dans cette commune. Je pourrais continuer la liste mais cela risque d'être assez long et fastidieux mais je pense que vous avez compris que mes ancêtres ont longtemps erré dans les rues de cette cité qui fût la capitale des rois numides.
Encore une fois, ma généalogie nous a emmené hors de nos frontières, je l'espère, pour votre plus grand plaisir mais ne vous y habituez pas trop car demain, nous revenons dans l'hexagone dans un endroit qui vous est normalement déjà un peu familier (-;
lundi 2 juin 2014
#challengeAZ - B comme Belgique
A l'occasion du #challengeAZ, je continue à vous faire voyager dans les endroits où mes ancêtres ont vécu et je vous emmène aujourd'hui à l'étranger dans un pays voisin au nôtre : le plat pays comme on l'appelle c'est-à-dire la Belgique.
Je vous ai déjà parlé de mon arrière-grand-père Louis Dion, médaillé suite à son action durant la première guerre mondiale et natif de la ville de Roubaix. Ses parents sont nés en Belgique, son père à Tournai et sa mère à Ath et ce sont d'eux que viennent mes racines belges et plus particulièrement wallonnes de la province de Hainaut avec une petite touche flamande.
Possédant donc des racines sur cette terre et ayant un oncle qui vit toujours là-bas, j'ai un attachement spécial pour ce pays même si je dois honteusement avouer que je n'y suis pas retourné depuis de nombreuses années mais en consacrant un billet du challenge à ce territoire, je m'y suis peut-être rendu spirituellement, non ?
Je vous ai déjà parlé de mon arrière-grand-père Louis Dion, médaillé suite à son action durant la première guerre mondiale et natif de la ville de Roubaix. Ses parents sont nés en Belgique, son père à Tournai et sa mère à Ath et ce sont d'eux que viennent mes racines belges et plus particulièrement wallonnes de la province de Hainaut avec une petite touche flamande.
Possédant donc des racines sur cette terre et ayant un oncle qui vit toujours là-bas, j'ai un attachement spécial pour ce pays même si je dois honteusement avouer que je n'y suis pas retourné depuis de nombreuses années mais en consacrant un billet du challenge à ce territoire, je m'y suis peut-être rendu spirituellement, non ?