samedi 8 février 2014

Le généalogiste est-il un adepte du "moi je" ?





   Comme vous le savez déjà très certainement si vous avez l'habitude de me lire ou de me suivre sur les réseaux sociaux, je suis souvent en train de lire les différents blogs et sites généalogiques présents sur la toile. On y apprend beaucoup de choses et on y lit des articles intéressants ( ou pas ) sur notre activité favorite ( je parle de la généalogie bien sûr, si vous pensiez que je parlais d'autre chose c'est que vous vous êtes trompé de blog (-: ) mais pas que car la fonction commentaire nous permet de débattre, d'échanger, de discuter, de palabrer... comme ce fût le cas il y a peu de temps sur ce blog ici même en qui concerne les challenges généalogiques. Et récemment, il y a un commentaire qui m'a interpellé et qui m'a donné envie d'écrire l'article que vous êtes en train de lire ( avec plaisir je l'espère ).


   Le commentaire dont je vous parle a été écrit suite à l'article intitulé "Des Frenchies à RootsTech 2014" figurant sur le site de la Revue Française de Généalogie ayant pour but de présenter ce grand événement généalogique ainsi que la délégation envoyée sur place par ces derniers afin de nous informer de ce qu'il se passe là-bas de la manière la plus fidèle et la plus attrayante possible. Voilà le commentaire en question : "c'est le souci des nouvelles techno dans la généalogie comme twitter, facebook, blog etc... Moi, moi, moi, faisant totalement abstraction du travail collectif que doit être la généalogie. "mon" blog, "mon" twitter", "mon" facebook... Les échanges (questions, réponses, ajouts, correctifs... à 2, 3, 5 ou 10 contributeurs différents) dans tout ça sont relégués aux oubliettes. Bien dommage, un généalogiste ne peut s'enrichir que des échanges qu'il peut avoir avec d'autres sur des forums ou des listes de discussions et où donc les échanges peuvent être contradictoires ou lors de rencontres dans les centres d'archives, même si c'est derrière un café dans la salle de pause... Les nouvelles technos doivent d'abord servir les échanges contradictoires.
Si la généalogie du futur c'est d'avoir "son" blog, "son" facebook pour raconter son "pseudo quotidien" sans jamais mettre les pieds aux archives et se contenter de compiler des données issues d'autres bases de données et de faire un semblant de recherches sur des archives en ligne à la portée d'un enfant de 12 ans, alors... les nouvelles technos ça ne me dit rien qui vaille
." et il a été posté en réponse à un autre commentaire bien plus court disant : "Cet article est de la pub. Type "regardez comme on est beau"." Je ne répondrai pas ici à cela car, de mon avis personnel, Lulu, notre sorcière préférée, l'a très bien fait. Je ne détaillerai pas non plus l'échange et le mini-débat qui a suivi mais force est de constater que cela a fait réagir et que les avis divergent sur le sujet. Et c'est donc comme cela que cette question m'est venue : le généalogiste est-il un adepte du "moi je" ?

   Pour ma part, je vais peut-être vous surprendre, mais je pense que c'est en partie le cas ( mais attention, je dis bien en partie ! ). Et ce, pour plusieurs raisons.
Tout d'abord, lorsqu'on décide de se lancer dans sa généalogie et de faire son arbre c'est souvent, pour ne pas dire toujours, dans le but, conscient ou inconscient parfois, de répondre à des questions que l'on se pose sur soi-même et sur ses origines du style : qui suis-je ? d'où est-ce que je viens ? quelles sont mes origines et mes racines ? et pleins d'autres interrogations qui ont un côté un peu narcissique même si le mot est peut-être un peu fort mais l'idée est là et j'en ai parlé d'ailleurs brièvement dans un de mes articles dans lequel j'explique justement pourquoi je fais de la généalogie. Evidemment, il y a d'autres raisons comme la volonté de poursuivre un travail commencé par un autre membre de la famille, le désir de s'enrichir intellectuellement par le biais des recherches généalogiques, l'envie de vouloir percer des secrets familiaux...etc...mais toujours est-il que cela part également d'une envie quelque peu égoïste sans que cela soit quelque chose dont on doit avoir honte car dans ce cas bien précis, je parle d'égoïsme c'est certain mais je veux parler d'égoïsme au sens noble du terme si toutefois il y en a un et je le crois.
Ensuite, il y a effectivement cet aspect technologique que certains généalogistes ont apparemment du mal à encaisser qui fait que l'on va exposer son travail généalogique par le biais d'un arbre mis en ligne sur des sites comme GeneaNet ou MyHeritage, d'un blog comme c'est le cas ici par exemple ou des réseaux sociaux ( notamment Twitter ou la communauté des généablogueurs est très active ) et qui nécessite donc d'avoir un peu d'audience et de faire en sorte que les yeux se tournent vers nous. C'est toujours une fierté pour un généalogiste de dire : "regardez ce que j'ai trouvé" et cela peut être une épine généalogique ( #geneatheme du mois de janvier d'ailleurs ) qu'on arrive enfin à solutionner, un ancêtre décoré ou qui a eu une vie exceptionnelle, un cousinage avec une célébrité et j'en passe. Il y a donc là aussi un peu de ce "moi je" mais est-ce vraiment quelque chose de si terrible que cela ? Non, vraiment pas car comme je le disais à Antoine dans la discussion qui a suivi mon article sur les challenges généalogiques, le but premier de mon blog n'est pas d'avoir un maximum de lecteurs même si ça reste un élément à prendre en compte car si on écrit ou si on met ligne, c'est pour être lu ou vu tout en sachant qu'on ne cherche pas la notoriété ou la reconnaissance mais la possibilité de pouvoir trouver des réponses quand on fait face à une impasse généalogique ou de pouvoir débattre sur des sujets comme celui sur lequel je suis en train d'écrire. De toute manière, même sans arbre en ligne, sans blog, sans compte sur les réseaux sociaux, le généalogiste cherchera toujours quelqu'un à qui parler de ses trouvailles, de ses problèmes, de ses épines généalogiques, de ses ancêtres, de ses origines, de ses racines, de ses découvertes extraordinaires ou non...etc...et c'est normal quand c'est une passion car c'en est une tout comme le passionné de football pourra vous parler pendant des heures du match de Ligue des Champions de la semaine dernière, des buts marqués, des buts ratés, des erreurs de l'arbitre, de l'ambiance dans le stade, de la tactique, de la composition d'équipe de l'adversaire...etc....

   En conclusion, le généalogiste a effectivement un côté "moi je" nécessaire, selon moi, à la pratique de la généalogie et qui est loin de faire de lui un être ignoble et centré totalement sur lui-même ( bien au contraire ! ) car, et c'est là tout le paradoxe du généalogiste , il a aussi cette générosité qui l'habite et cette volonté de travailler de manière collective en allant aider les autres en indexant, en commentant et/ou en relayant des articles de blog pour aider d'autres généalogistes à résoudre des problèmes rencontrés, en mettant en ligne son arbre pour que ses collègues généalogistes puissent profiter de son travail et j'en oublie certainement sachant que ce travail d'entraide peut se faire aussi sur le terrain et que l'un n'empêche pas l'autre. Et vous, qu'en pensez-vous ?

24 commentaires:

  1. Cette réflexion a été longuement étudiée et résumée dans ce livre :
    http://books.google.com/books?id=04ypo1gLyDYC&pg=PA99&lpg=PA99&dq=genealogiste+egocentrique&source=bl&ots=z9eVHyfP6K&sig=DW2xzf9iirlqW9kzGCFJwDm-E9o&hl=fr&sa=X&ei=34z1UofCPJbsoATtvoHICg&ved=0CDEQ6AEwAQ#v=onepage&q=genealogiste%20egocentrique&f=false

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    1. Bonjour Hervé,
      Merci pour le lien. Cependant, toi-même, qu'en penses-tu ?

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    2. Jamais vu un lien aussi simple :-) Mais sa cible est très intéressante !

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  2. Bonjour Grégory
    Merci pour ce billet qui invite à la réflexion.L'activité généalogique a effectivement un côté "moi je" qui n'est pas sans poser aujourd'hui de redoutables problèmes à des associations généalogiques.En effet,comment concilier l’Intérêt individuel au collectif?La mise en ligne d'archives contribue à assécher la fréquentation des salles de lecture des AD et renforce les pratiques autonomes.La générosité généalogique sous des formes variées; bénévolat, entraide,indexation, partage, blog,etc est une qualité enrichissante pour tous.

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    1. Bonjour Philippe,
      Je ne vois pas forcément la chose comme ça ou, tout du moins, je préfère la voir d'une autre manière : pour moi, la mise en ligne d'archives permet de démocratiser la généalogie et de faciliter son accès à un nombre élevé de personnes comme c'est le cas avec l'apparition de sites comme GeneaNet et ces mêmes personnes se rendront un jour ou l'autre en salle de lecture car tout n'est pas en ligne notamment.
      En ce qui concerne la générosité généalogique, oui elle prend plein de formes et il y en autant sur le terrain que sur le web.

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    2. Je ne critique pas la mise en ligne d'archives.Bien au contraire ! Il s'agit d'un formidable service rendu au public.L'assèchement de la fréquentation des salles de lecture des AD qui résulte de la mise en ligne d'archives est un constat également partagé par les personnels des AD.La mise en ligne d'archives ne représente qu'une faible partie des trésors susceptibles d’intéresser les généalogistes.

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    3. Oui j'avais bien compris je voulais juste disons un peu tempérer le propos mais je me suis sûrement mal exprimé je m'en excuse.
      J'ai aussi discuté avec des membres du personnels des AD qui m'ont fait part de ce constat mais sans vouloir faire injure à qui que ce soit, je le trouve trop simpliste pour ma part, je pense que cela est plus complexe mais là on s'éloigne du sujet.
      Et oui, les archives disponibles sur le net rendent bien des services mais ne constituent qu'une mince partie des documents utiles à la recherche généalogique.

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  3. Merci pour ces réflexions ! Sincèrement en milieu associatif ce ne sont pas les "moi je" qui manquent et donner rime aussi avec prendre ! La formule est juste incomplète : "moi je... commande"
    Il ne faut rien idéaliser, et ne se priver d'aucun des supports qui sont offerts.
    "Moi je" trouve qu'il y a beaucoup d'émulation et de partage en généalogie, et de plus les barrières de l'âge, des classes sociales, de la localisation sont surmontées. Je crois qu'il y a même autant de filles que de garçons !
    Amitiés

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    1. Bonjour Gloria,
      Tu as toujours une superbe plume et c'est un plaisir de te lire dans mes commentaires ( tiens il y aurait pas un de moi je là ? (-: ).
      Tu as raison, il ne faut se priver d'aucun support et les opposer entre eux est, à mon avis, une terrible erreur et c'est pour ça que j'ai apprécié ton commentaire sur le site de la RFG.
      Et oui effectivement, il y a du partage dans la généalogie qui fait tomber les barrières et fait se réunir des personnes qui sans cela ne se serait peut-être jamais adressé la parole.

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  4. Ainsi le généalogiste serait quelque peu "narcissique" !
    Faisant partie d'un cercle généalogique dans ma commune, le partage est de mise : je donne... tu prends... et vice versa !
    Le fait d'avoir un blog et de correspondre sur les réseaux est également très motivant. Une émulation se crée et oblige à avancer !
    Et "je" n'ai pas écrit à la première personne ;-)
    Merci Grégory

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    1. Bonjour Evelyne,
      Oui la généalogie c'est du partage et dans le partage il y a soit et il y a les autres et, de mon point de vue, ça résume bien le généalogiste qui partage et travaille pour lui-même à la fois.

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  5. Ce rappel à la modestie de chacun est loin d'être injustifié ! Mais le "moi" dont abusent parfois certains généalogistes est aussi le moyen de rencontrer des personnes vivantes dans un univers peuplé de défunts :-)

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    1. Bonjour Jean-Michel,
      Quelle belle formule que celle-là ! J'adore !

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  6. Bien entendu il y a du moi je... mais aussi et surtout du ils et du elles : nos ancêtres bien sûr !

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    1. Bonjour Elodie,
      Bien dit ! Mais les ils et les elles qui sont nos ancêtres ne sont-ils pas là pour justement nous renvoyer à notre moi ? (-:

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  7. "Parlez-moi de moi, y a qu'ça qui m'intéresse" disait la chanson. La plupart des généalogistes sont plutôt partageurs, n'en déplaise aux râleurs qui fleurissent en ce moment sur la toile. Un effet de la météo hivernale ? Bah, il faut de tout pour faire un monde, disait ma grand-mère. Oups, j'ai dit "ma", mais comment faire autrement ?

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    1. Bonjour Dominique,
      Je n'avais pas effectivement pris en compte le paramètre de la météo hivernale et son effet sur les râleurs...Quelle erreur... ^^

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  8. Hello Gregory , bjr à tous

    Le problème est-il bien posé?

    Si l'ego est sain puisqu'il participe a la construction de la personnalité, il y a 3 pistes malsaines sans aucun rapport avec la généalogie. Problèmes psychiatriques issus de frustrations, problèmes culturel (culte de l'apparence) et surtout le conditionnement médiatique pour nous vendre perpétuellement des produits dans des modes qui changent de plus en plus rapidement.

    L’égocentrisme s'est accentué avec les nouvelles technologies et il serait stupide de se voiler la face en redoublant d'efforts pour camoufler nos défauts derrière une apparente humilité. D'ailleurs, je ne vois pas en vertu de quoi, on pourrait juger ce type de profil psychologique en y étant nous-mêmes affublés dans des proportions variées.

    Comme tu cites mes propos, autant les remettre dans le contexte qui était celle de la motivation. Nous ne sommes pas tous motivés par la notoriété en parlant de certains blogs que j'ai pu visiter. Comme tout le monde, j'ai un ego qui m'embarrasse et à titre personnel, je n'ai absolument rien contre l'idée de me le flatter, mais je sais que c'est MA productivité qui en ferait les frais et c'est bien là que le bas blesse.

    Pour terminer, la générosité n'a aucun rapport direct avec l'ego sauf dans le cas ou cela rentre dans le cas d'une gestion de son image.

    Si il n'y avait pas des personnes avec de gros égo, il probable que le théâtre, la mode,, pour ne citer qu'eux n'existeraient pas!

    Le vrai problème est de savoir ce que l'on veut prioritairement et c'est en cela que j'ai montré du doigt ce qui me posait un problème

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    1. Bonjour Antoine,
      Merci pour ton commentaire et tes précisions.
      Je ne m'attarderai pas sur les aspects psychologiques que tu développes car même si c'est un sujet qui m'a toujours intéressé notamment via la psychogénéalogie, je n'ai pas trop envie de m'éloigner de la discussion d'origine d'autant plus que je ne suis pas sûr de maitriser le sujet sur le bout des doigts donc je ne voudrais pas dire de bêtises.
      Tout ce que je peux te dire c'est que de mon point de vue, même si nous vivons dans une société de consommation où on nous sommes conditionnés pour acheter encore et encore de nouveaux produits avec les dégâts que cela cause, je ne pense pas que l'égocentrisme se soit accentué avec les nouvelles technologies. Si quelqu'un a de l'ego, il en a avec ou sans nouvelles technologies. Au contraire, les réseaux sociaux, les blogs, les sites sur lesquels les gens échangent favorisent le partage et l'échange même si c'est un nouveau type d'échange et que forcément, comme tout ce qui est nouveau, cela ne plaît pas à tout le monde. Mais encore une fois, on s'éloigne du sujet de base même si ce que l'on dit peut s'appliquer à l'univers de la cybergénéalogie.
      Pour terminer, c'est vrai que la bonne question à se poser est de savoir ce que l'on veut prioritairement et je crois que bon nombre de généalogistes veulent échanger et partager avant toute autre chose même si le généalogiste a un côté narcissique ( comme je le développe dans l'article ) qui est ma foi nécessaire quand on fait de la généalogie.

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    2. "Si quelqu'un a de l'ego, il en a avec ou sans nouvelles technologies".
      Partage et échanges n'ont aucun lien avec la culture de l'ego sauf dans le cas ou le partage est destiné à se mettre en valeur. Dans un sens large, il est évident que l'ego est à la base du discernement, mais là on parle de narcissisme!

      Je pense qu'il est indispensable de pouvoir dissocier pour comprendre. I J'ai vu les personnes changer, non pas avec la venue d'internet, mais avec facebook. Moi y compris, évidemment !

      l y a vraiment, un changement comportemental effectif et une recherche d'auto glorification sans précédent. Il faudrait peut-être demander l'avis de sociologues?

      Je ne pense absolument pas que le narcissisme soit nécessaire, mais je reste persuadé en plus qu'il peut nuire à la généalogie. Mais on fait ce que l'on peut avec ce que l'on a, étant entendu que l'on a pas un véritable contrôle des désirs que l'on nous inculque à longueur d'années.

      C'est un débat complexe, qui peut également remettre en cause certains aspects de la psychologie, comme le positivisme et faire grincer des dents grâce à des exemples concrets.

      C'est un sujet des plus sensibles, car il nécessite une bien inconfortable introspection qui n'épargnerait personne. C'est pour cela qu'il me semble que le problème est mal posé.

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  9. Vaste sujet, mais d'une manière générale, il me semble que tenir un blog, raconter son histoire et donner son avis implique une utilisation de la,première personne du singulier. Sinon, utiliser la troisième pour parler de soi semble encore plus narcissique.
    Ensuite, parler des généalogistes peut sembler narcissique mais c'est intéressant pour se connaitre.
    Enfin dire "moi je" ne m'empêchera pas de dire "toi tu" et surtout "nous nous". Car oui, moi je suis aussi narcissique, je tiens aussi un blog sur lequel je donne mon avis, sur lequel je parle de moi à la première personne du singulier. Mais je ne me sens pas pour autant égoïste.

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    1. Bonjour Clement,
      Je ne me sens pas du tout égoïste aussi mais force est de constater que quelque part, la démarche du généalogiste repose sur quelque chose d'égoïste sans pour autant que le généaloiste soit. Oui, vaste sujet et complexe sujet que celui-ci...

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  10. Toute personne qui communique sur son (ou ses) sujet(s) favori(s), qui publie articles ou commentaires, qui partage informations et données est inévitablement une adepte du "moi je..." sinon, elle resterait bien repliée dans son petit coin. L'altruisme existe mais ce n'est pas s'effacer ce n'est qu'être discret.
    Roland Bouat

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    1. Bonsoir Roland,
      Je suis bien d'accord sur ce point. Et en généalogie, heureusement que chacun ne reste pas replié dans son petit coin.

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