lundi 25 septembre 2017

Jamais deux sans trois !

   Lucien Louis Rhit, fruit de l'union de Louis Rhit et de Augustine Cyrille Favereau, est né au début de l'année 1894, le 2 janvier plus précisément, à Gracay dans le Cher. Aprés avoir participé à la "Grande Guerre" au sein du 408éme Régiment d'Infanterie, il se marie le 22 septembre 1919 dans la commune dans laquelle il a vu le jour avec une certaine Marcelle Renée Miniere, fille de Louis Miniere et de Victorine Maria Penichaud. Jusque là, tout est normal, n'est ce pas ?
   Marcel Rhit est le frére de Lucien Louis et il découvre notre joli monde le 15 octobre 1896, lui aussi à Gracay. Il prendra part également à la premiére guerre mondiale dans le 95éme Régiment d'Infanterie avant de marier le 15 juin 1920 dans sa ville natale avec Olympe Jeanne... Miniere, fille de... Louis Miniere et de Victorine Maria Penichaud. La soeur a donc épousé le frére à peine neuf mois aprés.
   Joseph Albert Rhit, frére des deux précédents Rhit cités dans cet article, est venu au monde le 8 avril 1898 dans la même localité que ses deux frangins. Suivant une trajectoire similaire, il prend part à la guerre 14-18 et épouse le 23 juillet 1917 ( soit avant ses deux fréres ) une certaine Mauricette... Miniere, fille de...Louis Miniere et de Victorine Maria Penichaud.
   Ce qui nous fait donc trois fréres qui ont épousé trois soeurs à 3 ans d'écart. Comme dit dans le titre, jamais deux sans trois ! :-)


  

lundi 11 septembre 2017

#Geneatheme : Un point sur mes projets

   Le #geneatheme du mois de septembre nous "pousse" à faire un point sur nos projets généalogiques et je trouve que c'est plutôt une bonne idée de prendre le temps de se poser et de prendre du recul pour prendre le temps de faire un point sur ce que l'on a pu accomplir et ce qu'il nous reste à faire pour atteindre nos objectifs.

Voilà ce qu'il en est pour ma part :
- Tout d'abord, je ne publie pas assez sur mon blog et heureusement que le #ChallengeAZ existe car il me permet de me sortir de ma torpeur au moins une fois par an et de venir faire revivre le blog. Ceci dit, en cette rentrée, j'ai pris la décision de revenir écrire ici réguliérement et j'espére bien m'y tenir aussi longtemps que possible
- Ensuite, je me suis lancé dans l'objectif G10 qui consiste à remonter toutes les branches de son arbre généalogique jusqu'à la dixiéme génération et même si je suis loin d'avoir réussi à atteindre cet objectif ( que je n'atteindrai peut-être jamais ), cela m'a permis de revoir mon organisation quant à la construction de mon arbre mais aussi de débloquer des branches délaissées et de réussir à en remonter certaines.
- Enfin, depuis longtemps, j'ai entrepris d'écrire un e-book à propos de mon histoire familiale à partir, bien évidemment, des données contenues dans mon arbre généalogique. J'ai bien avancé pendant un moment avant de connaître un petit coup d'arrêt mais jespére bien pouvoir m'y remettre trés rapidement.

   A bientôt !

lundi 4 septembre 2017

Retour sur la terre de mes ancêtres : Les Chezeaux

  




   C'est la rentrée et j'ai décidé par la même occasion de faire ma rentrée blogo-généalogique si je puis m'exprimer ainsi. Voilà donc mon premier article suite au #ChallengeAZ du mois de juin qui a pris beaucoup de mon temps et de mon énergie mais qui a été, comme à chaque fois, un réel plaisir sous l'impulsion d'une Sophie Boudarel toujours aussi inspirante et inspirée. Je vais vous parler d'une sorte de pélerinage fait pendant mes vacances au mois d'août.


   En effet, je suis parti en vacances en famille avec femme et enfants, comme j'imagine beaucoup d'entre vous, pendant le mois d'août et sans rentrer dans les détails, pour la seconde année consécutive, nous avons opté pour une sorte de road-trip à travers la France avec des étapes plus ou moins longues et/ou plus ou moins prédéfinies. Une des étapes nous a emmené dans le département de la Vienne et l'étape suivante était située à Millau et je me suis rendu compte que pour aller d'un point à l'autre je passais tout prés d'une zone située dans le Berry où beaucoup de mes ancêtres ont vécu.
   J'ai donc fait une halte aux Chezeaux ( sorte de lieu-dit regroupant le Petit Chezeau et le Grand Chezeau ) à Anjouin dans l'Indre, mon sosa 148 Simon Rhit ayant vécu au Petit Chezeau avec sa femme qui n'est autre que ma sosa 149 Rose Doloire ( je vous ai d'ailleurs parlé de leur fils dans un de mes précédents articles ) et les parents de Simon mon sosa 296 Simon Rit a passé une partie de sa vie aux côtés de sa troisiéme épouse, ma sosa 297 Marie Anne Montigny au Grand Chezeau pour commencer avant de finir son existence au Petit Chezeau. Anne, qui a été le sujet d'un de mes #geneatheme a vécu aussi au Grand Chezeau.
   Cette halte fût quelque chose de magique pour moi, une sorte de voyage dans le temps, et j'ai pu voir les endroits où mes ancêtres ont vécu même si j'imagine que les lieux ont beaucoup changé en l'espace de 300 ans. En tout cas, c'est une campagne calme, paisible et retirée dans laquelle mes ascendants pour la plupart laboureur, cultivateur ou journalier ont passé leurs vies. Et bizarrement ( ou pas d'ailleurs ), je me sentais plutôt bien dans cet endroit qui, par moment, m'a semblé un peu familier et que quelque part, je découvrais sans forcément découvrir.

   Il me serait intéressant d'avoir des témoignages de votre part si vous avez vécu une expérience similaire et il est certain que si j'ai d'autres occasions de découvrir d'autres terres de mes ancêtres, je le ferai sans hésiter et je vous en parlerai encore une fois avec plaisir ! :-)