dimanche 24 mars 2013

Oui oui c'est vrai, j'ai de la chance...

   Alors que tous les regards du monde interneto-généalogique ( effectivement c'est un terme que je viens d'inventer ) sont tournés vers le fameux challenge AZ de Sophie Boudarel et que la pression monte de jour en jour en même temps que les protagonistes de l'aventure échangent sur leurs trouvailles, leurs doutes, leurs idées ou leurs difficultés ( il faut bien dire qu'il y a des lettres comme le W ou le Y qui donnent bien du fil à retordre ), j'ai décidé de me la jouer un peu égocentrique en vous parlant de moi dans cet article. Et, en plus, je vais vous faire "marronner" comme on dit chez nous dans le sud car je me rends compte que du point de vue généalogie, j'ai été plutôt chanceux lors de ces derniers mois et de ces dernières semaines.

   Pour être tout à fait précis, cette chance porte sur les numérisations en ligne sur le web d'archives. Tout a commencé le 6 décembre dernier ( c'est d'ailleurs le jour de mon anniversaire, vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas (-; ) avec une mise en ligne que j'attendais depuis pas mal de temps comme beaucoup d'autres : la mise en ligne des archives départementales du Cher. En effet, du côté de mon père et plus particulièrement de mon grand-père paternel, la plupart de mes ancêtres sont berrichons, vous imaginez par conséquent l'aide que cela a pu m'apporter. Mais certains de mes ancêtres berrichons ont bien sûr aussi vécu dans l'Indre et c'est avec une joie immense que j'ai pu apprendre le 1er mars que l'état civil de l'Indre a été remis en ligne. Mais ce n'est pas tout ! Du côté de ma mère qui est née à Roubaix, mes racines se situent en Belgique, dans le Nord, dans l'Aisne, dans les Ardennes ou encore dans le Pas-de-Calais, département dans lequel les archives départementales ont pris la sympathique décision d'enfin mettre en ligne l'état civil à partir du 2 avril car nous n'y trouvions juste là que les tables décennales, ce qui privait bien évidemment les généalogistes de multiples informations. Et il ne faut pas que j'oublie aussi de mentionner l'arrivée fin janvier des archives belges sur la toile !

   Donc voilà, on peut effectivement dire qu'au niveau des mises en lignes de documents généalogiques sur Internet, j'ai été quand même pas mal vernis depuis la fin de l'année 2012. Je croise donc les doigts pour que cela dure le plus longtemps possible ! Et pour vous, qu'en est-il ?

6 commentaires:

  1. Bonjour Grégory,
    j'ai 99% de mes ancêtres dans le Nord Pas de calais.
    Je crois que je vais être très occupé à partir du deux avril!

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    1. Bonjour Joel,
      En effet, vous allez avoir du boulot (-; Amusez-vous bien !

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  2. Sans compter les sites de dépouillements berrichons:-)
    BENOIT
    Berrichon d'origine :-)

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    1. Bonjour Benoit, bien evidemment !
      Et vive les berrichons d'origine ! (-:

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  3. Personnellement, même si UNE PARTIE des archives est de plus en plus souvent mise en ligne sur Internet, ce qui est très utile, cela fait longtemps que j'ai compris que la généalogie ne se faisait pas sur Internet ou derrière un ordinateur, mais dans les dépôts d'archives, au contact des chercheurs de terrain et de toutes les autres sources utiles et indispensables pour réaliser une généalogie, car dès qu'on remonte avant de 1750, il est généralement indispensable de disposer d'autres sources pour pouvoir justifier ses données : notariat, briefs, cartulaires, cueilloirs, plaids, procès, rentes héritières, etc...
    Bref, en généalogie, il faut se bouger le c... et aller voir au-delà des sources traditionnelles qu'on retrouve sur Internet, c'est tellement riche et intéressant

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    1. Bonjour,
      Bien evidemment, la généalogie ne se fait pas que sur Internet et derriére un ordinateur même s'il faut bien avouer que les nouvelles technologies sont de plus en plus présentes dans l'univers de la généalogie et qu'il faut prendre cette donnée en compte quand on fait de la généalogie.
      Je recommande bien sûr à tout un chacun d'aller se rendre dans les salles d'archives car on y trouvera forcément plus d'informations que sur le web.
      Après, les mises en ligne sur Internet sont pratiques pour des gens habitant loin des lieues où ont vécu leurs ancêtres et qui n'ont peut-être pas les moyens ou le temps voire les deux en même temps de s'y rendre. Moi, par exemple, j'habite Marseille et j'ai des ancêtres dans le Cher, dans l'Indre, à Paris, en Belgique, en Algérie, dans les Ardennes, en Alsace, dans le Nord, dans le Pas-de-Calais et la liste n'est pas exhaustive.
      Je pense qu'il ne faut pas opposer Internet aux dépôts d'archives comme il ne faut pas opposer généalogistes bénévoles et professionnels, dans les deux cas, les deux sont complémentaires tout simplement.

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