Avant-dernier jour du #ChallengeAZ aujourd'hui et on arrive à la lettre Y qui ne fait pas partie des lettres les plus faciles de l'exercice. A cette occasion, je vous parle d'Ypolite Dedion dont je suis descendant à la quatrième génération d'un cousin issu d'issus de germains.
Fils de Jean Dedion, laboureur, et de Catherine Huet, cultivatrice, il est né le 7 avril 1827 à Anjouin dans le département de l'Indre et sera le cinquième né d'une famille de onze enfants.
Il n'aura pas malheureusement la chance de se marier, d'avoir des enfants ou un travail puisqu'il va décéder dans la commune où il a vu le jour à l'âge d'à peine huit mois le jour de Noël le 25 décembre 1827.
A demain pour la lettre Z !
Passionné de généalogie depuis des années, je vous invite à venir découvrir ma vision de la généalogie au travers d'articles, d'interviews, de chroniques familiales...etc...
vendredi 29 novembre 2019
jeudi 28 novembre 2019
#ChallengeAZ : X comme Xxx
La lettre X est loin d'être la plus évidente du #ChallengeAZ et là encore, je dois ruser pour pouvoir écrire un article qui vaille la peine d'être lu.
J'ai donc décidé de vous parler de tous ces gens que je ne nomme Xxx dans mon arbre généalogique car je ne retrouve pas l'identité de ces personnes et au niveau de mes Sosas, cela ne concerne que quatre personnes.
Tout d'abord, celui qui est censé être mon Sosa 76 et qui a été uni à ma Sosa 77 Sophie Eleonice Rossignol. Ils ont certainement vécu à Paris mais j'ai très peu d'informations sur ces deux personnes.
Ensuite, il y a ma Sosa 1733 dont je ne sais malheureusement pas qui elle est et qui a passé sa vie avec mon Sosa 1732. Comme pour les précédents, je sais très peu de choses sur eux.
Après, il y a un homme qui a rencontré ma Sosa 37 Julie Rhit ( dont je vous ai conté la vie dans un article en 2013 ) qui est, lui, mon Sosa 36 et qui a certainement passé une partie de son existence à Compiègne dans l'Oise.
Enfin, je termine avec mon Sosa 8 c'est-à-dire mon arrière-grand-père que je n'ai pas connu car personne ( à part mon arrière-grand-mère Germaine Rhit qui n'a jamais dévoilé le secret ) ne sait qui il a été si ce n'est qu'il a dû vivre à un moment donné sur Paris.
A demain pour la lettre Y !
J'ai donc décidé de vous parler de tous ces gens que je ne nomme Xxx dans mon arbre généalogique car je ne retrouve pas l'identité de ces personnes et au niveau de mes Sosas, cela ne concerne que quatre personnes.
Tout d'abord, celui qui est censé être mon Sosa 76 et qui a été uni à ma Sosa 77 Sophie Eleonice Rossignol. Ils ont certainement vécu à Paris mais j'ai très peu d'informations sur ces deux personnes.
Ensuite, il y a ma Sosa 1733 dont je ne sais malheureusement pas qui elle est et qui a passé sa vie avec mon Sosa 1732. Comme pour les précédents, je sais très peu de choses sur eux.
Après, il y a un homme qui a rencontré ma Sosa 37 Julie Rhit ( dont je vous ai conté la vie dans un article en 2013 ) qui est, lui, mon Sosa 36 et qui a certainement passé une partie de son existence à Compiègne dans l'Oise.
Enfin, je termine avec mon Sosa 8 c'est-à-dire mon arrière-grand-père que je n'ai pas connu car personne ( à part mon arrière-grand-mère Germaine Rhit qui n'a jamais dévoilé le secret ) ne sait qui il a été si ce n'est qu'il a dû vivre à un moment donné sur Paris.
A demain pour la lettre Y !
mercredi 27 novembre 2019
#ChallengeAZ : W comme Marie Rose Angelique Wiart
Trop peu de personnes dans mon arbre généalogique ayant un prénom qui commence par la lettre W, j'ai dû ruser et j'ai finalement fait le choix de vous parler de ma Sosa 201 Marie Rose Angelique Wiart dont le nom de famille débute par la lettre W et dont je suis le descendant à la septième génération.
Fille de Paque Wiart, journalier et berger ainsi que de Marie Joseph Delsaut, elle est née le 15 juin 1728 à Epinoy dans le département du Pas-de-Calais.
Menagere de profession, elle se marie en 1752 avec Guillain Dumont qui a été menager et manouvrier et avec qui elle aura huit enfants.
Elle finira par finalement disparaître à l'âge de 77 ans le 12 novembre 1805 à Aubigny-au-Bac dans le département du Nord.
A demain pour la lettre X !
Fille de Paque Wiart, journalier et berger ainsi que de Marie Joseph Delsaut, elle est née le 15 juin 1728 à Epinoy dans le département du Pas-de-Calais.
Menagere de profession, elle se marie en 1752 avec Guillain Dumont qui a été menager et manouvrier et avec qui elle aura huit enfants.
Elle finira par finalement disparaître à l'âge de 77 ans le 12 novembre 1805 à Aubigny-au-Bac dans le département du Nord.
A demain pour la lettre X !
mardi 26 novembre 2019
#ChallengeAZ : V comme Victoire Rhit
C'est bientôt la fin du #ChallengeAZ et nous commençons à entrer dans les lettres pas évidentes et aujourd'hui c'est la lettre V qui est à l'honneur. J'ai donc décidé de vous parler de Victoire Rhit dont je suis le descendant à la quatrième génération d'un cousin c'est-à-dire que ses grands-parents sont mes ancêtres à la sixième génération.
Elle est née le 21 décembre 1852 à Guilly dans le département de l'Indre, ses parents étant Claude Rhit qui a été successivement laboureur, cultivateur et journalier et Victoire Legeron qui, elle, a été menagere.
Victoire a exercé la profession de menagere comme sa mère mais a aussi été domestique. Elle s'est mariée le 18 novembre 1873 à Genouilly dans le département du Cher avec Jean-Victor Giroux qui a été tour à tour domestique, journalier et cantonnier. Avec lui, elle aura cinq enfants et vivra au Haut Bourg à Genouilly où elle continuera à vivre après la mort de son époux puisqu'elle apparaît dans le recensement de 1906 à cette adresse où il est noté qu'elle y habite seul avec un de ses fils, le plus jeune répondant au nom de Lucien.
Je ne connais malheureusement pas la date exacte de son décès.
A demain pour la lettre W !
Elle est née le 21 décembre 1852 à Guilly dans le département de l'Indre, ses parents étant Claude Rhit qui a été successivement laboureur, cultivateur et journalier et Victoire Legeron qui, elle, a été menagere.
Victoire a exercé la profession de menagere comme sa mère mais a aussi été domestique. Elle s'est mariée le 18 novembre 1873 à Genouilly dans le département du Cher avec Jean-Victor Giroux qui a été tour à tour domestique, journalier et cantonnier. Avec lui, elle aura cinq enfants et vivra au Haut Bourg à Genouilly où elle continuera à vivre après la mort de son époux puisqu'elle apparaît dans le recensement de 1906 à cette adresse où il est noté qu'elle y habite seul avec un de ses fils, le plus jeune répondant au nom de Lucien.
Je ne connais malheureusement pas la date exacte de son décès.
A demain pour la lettre W !
lundi 25 novembre 2019
#ChallengeAZ : U comme Marie Ursule Montigny
J'espère que vous m'excuserez mais j'ai un peu triché pour la lettre U du #ChallengeAZ car, contrairement à ce que je pensais, il y a peu de personnes dont le prénom commence par U dans mon arbre généalogique. Donc j'ai décidé de prendre un petit raccourci et de parler de Marie Ursule Montigny dont le second prénom commence par U. Une petite pirouette... Ses arrière-grands-parents sont aussi mes ancêtres à la dixième génération.
Elle est née le 14 décembre 1751 à Fontenay dans le département de l'Indre, ses parents étant Pierre Montigny et Anne Puet.
Elle se marie dans cette même commune le 25 février 1772 avec Jean Berthier qui a exercé la profession de journalier et avec qui elle aura sept enfants.
Elle finit finalement par disparaître le 25 octobre 1789 à l'âge relativement jeune de 37 ans à Vatan dans la paroisse Saint-Laurian toujours dans le département de l'Indre.
A demain pour la lettre V !
Elle est née le 14 décembre 1751 à Fontenay dans le département de l'Indre, ses parents étant Pierre Montigny et Anne Puet.
Elle se marie dans cette même commune le 25 février 1772 avec Jean Berthier qui a exercé la profession de journalier et avec qui elle aura sept enfants.
Elle finit finalement par disparaître le 25 octobre 1789 à l'âge relativement jeune de 37 ans à Vatan dans la paroisse Saint-Laurian toujours dans le département de l'Indre.
A demain pour la lettre V !
samedi 23 novembre 2019
#ChallengeAZ : T comme Thomas Tournay
Le #ChallengeAZ continue avant la pause hebdomadaire dominicale de demain en ce samedi avec la lettre T.
On va parler de Thomas Tournay aujourd'hui qui est mon Sosa 438 c'est-à-dire que je suis son descendant à la huitième génération. Il est né le 13 février 1722 à Palluel dans le département du Pas-de-Calais. Son père se nomme Pierre Tournay et a exercé la profession de tourbier. Quant à sa mère, elle s'appelle Marie Barbe d'Hordain.
Ayant tout comme son papa exercé la profession de tourbier, il se marie le 12 mai 1744 dans la ville où il a vu le jour avec Marie Margueritte Boucher qui travaille comme fileuse et avec qui il a eu la bagatelle de dix enfants.
Il décède le 4 septembre 1799 dans la commune où il est né à l'âge plutôt respectable pour l'époque de 77 ans.
A lundi pour la lettre U !
On va parler de Thomas Tournay aujourd'hui qui est mon Sosa 438 c'est-à-dire que je suis son descendant à la huitième génération. Il est né le 13 février 1722 à Palluel dans le département du Pas-de-Calais. Son père se nomme Pierre Tournay et a exercé la profession de tourbier. Quant à sa mère, elle s'appelle Marie Barbe d'Hordain.
Ayant tout comme son papa exercé la profession de tourbier, il se marie le 12 mai 1744 dans la ville où il a vu le jour avec Marie Margueritte Boucher qui travaille comme fileuse et avec qui il a eu la bagatelle de dix enfants.
Il décède le 4 septembre 1799 dans la commune où il est né à l'âge plutôt respectable pour l'époque de 77 ans.
A lundi pour la lettre U !
vendredi 22 novembre 2019
#ChallengeAZ : S comme Sophie Alphonse
Le temps passe à une allure incroyablement rapide : nous en sommes déjà à la lettre S du #ChallengeAZ et je vais vous parler de Sophie Alphonse, ma Sosa 103 dont je suis le descendant à la sixième génération.
Elle est née le 6 avril 1787 à Aubigny-au-Bac dans le département du Nord. Ses parents sont Pierre Joseph Alphonse, journalier et aussi Pacifique Monscourt.
Exerçant la profession de fileuse, elle se marie le 8 mai 1811 dans sa commune de naissance avec Baptiste Nicolas Desire Maton qui était marchand de cordes. Ensemble, ils ont eu un enfant : une fille du nom de Pacifique Joseph Maton en 1811 également.
Elle n'aura pas le temps d'avoir d'autres enfants puisqu'elle décédera le 15 mars 1813 à la fin d'un hiver plutôt rude à l'âge assez précoce de 25 ans dans la ville où elle est née et s'est mariée.
A demain pour la lettre T !
Elle est née le 6 avril 1787 à Aubigny-au-Bac dans le département du Nord. Ses parents sont Pierre Joseph Alphonse, journalier et aussi Pacifique Monscourt.
Exerçant la profession de fileuse, elle se marie le 8 mai 1811 dans sa commune de naissance avec Baptiste Nicolas Desire Maton qui était marchand de cordes. Ensemble, ils ont eu un enfant : une fille du nom de Pacifique Joseph Maton en 1811 également.
Elle n'aura pas le temps d'avoir d'autres enfants puisqu'elle décédera le 15 mars 1813 à la fin d'un hiver plutôt rude à l'âge assez précoce de 25 ans dans la ville où elle est née et s'est mariée.
A demain pour la lettre T !
jeudi 21 novembre 2019
#ChallengeAZ : R comme Rose Doloire
On continue le #ChallengeAZ avec aujourd'hui la lettre R et on va parler de Rose Doloire qui est ma Sosa 149. Je suis son descendant à la septième génération.
D'après mes recherches, elle est née entre 1761 et 1765 à Thénioux dans le département du Cher. Ses parents sont Louis Doloire, manouvrier et Marie Jeanne Lorin.
Elle se marie une première fois avec Simon Rhit le 21 novembre 1786 à Maray dans le Loir-et-Cher. Ce dernier décédera en 1788 et elle aura un enfant avec lui. Elle se marie une seconde fois, à une date qui m'est inconnue, avec Pierre Douzami avec qui elle a eu quatre enfants.
Elle finira par décéder le 22 septembre 1810 à Genouilly dans le département du Cher à la fin d'un été qui a été terriblement caniculaire.
A demain pour la lettre S !
D'après mes recherches, elle est née entre 1761 et 1765 à Thénioux dans le département du Cher. Ses parents sont Louis Doloire, manouvrier et Marie Jeanne Lorin.
Elle se marie une première fois avec Simon Rhit le 21 novembre 1786 à Maray dans le Loir-et-Cher. Ce dernier décédera en 1788 et elle aura un enfant avec lui. Elle se marie une seconde fois, à une date qui m'est inconnue, avec Pierre Douzami avec qui elle a eu quatre enfants.
Elle finira par décéder le 22 septembre 1810 à Genouilly dans le département du Cher à la fin d'un été qui a été terriblement caniculaire.
A demain pour la lettre S !
mercredi 20 novembre 2019
#ChallengeAZ : Q comme Quatre Simon
Bon j'avoue que pour la lettre Q du #ChallengeAZ, j'ai un petit peu triché mais je n'ai pas trop eu le choix car il y a peu de personnes dans mon arbre généalogique qui ont un prénom qui commencent par la lettre Q. J'ai donc pris la décision de vous parler de quatre Simon qui se sont suivis de père en fils.
Le premier, mon Sosa 296 ( je suis son descendant à la huitième génération ) s'appellait Simon Rit, il a été voiturier et blatier ( vendeur de blés ). Il a vécu à Anjouin dans le département de l'Indre de 1713 environ à 1789 où il s'est marié trois fois et a eu dix enfants, tous issus de son troisième mariage avec Marie Anne Montigny, notamment un certain Simon.
Ce Simon, le second qui a été journalier, est donc mon Sosa 148 dont je suis descendant à la septième génération connaît une orthographe différente par rapport à son papa au niveau du nom puisqu'il passe de Rit à Rhit. Né en 1757 à Anjouin, il y décédera quelques mois avant son géniteur en décembre 1788 et peu de temps après son mariage avec Rose Doloire en novembre 1786 à Maray dans le département du Loir-et-Cher. Il aura eu tout de même le temps d'avoir un enfant qu'il nommera donc Simon.
Ce dernier, le troisième, mon Sosa 74, est au coeur d'une épine généalogique importante de mon arbre dont j'ai parlé il y a quelques années. Ayant exercé les professions de cultivateur, laboureur, fermier, vigneron et journalier, il est né en 1787 à Maray. Il s'est marié à deux reprises à Genouilly dans le département du Cher en 1809 et en 1826 avant de décéder à Anjouin en 1854. Il a eu sept enfants issus de son premier mariage et encore sept issus de sa seconde union soit quatorze au total, le dernier se prénommant Simon.
Ce quatrième n'est pas un de mes Sosas mais je suis son neveu à la cinquième génération. Il a vu le jour en mai 1844 à Genouilly avant de se marier en décembre 1875 à Luçay-le-Libre dans le département de l'Indre avec Marie Louise Marguerite Geoffroy. Il a exercé les professions de journalier et de cultivateur avant de décéder en septembre 1923 à Gracay dans le département du Cher sans avoir eu, à ma connaissance, d'enfants et donc pas de cinquième Simon.
A demain pour la lettre R !
Le premier, mon Sosa 296 ( je suis son descendant à la huitième génération ) s'appellait Simon Rit, il a été voiturier et blatier ( vendeur de blés ). Il a vécu à Anjouin dans le département de l'Indre de 1713 environ à 1789 où il s'est marié trois fois et a eu dix enfants, tous issus de son troisième mariage avec Marie Anne Montigny, notamment un certain Simon.
Ce Simon, le second qui a été journalier, est donc mon Sosa 148 dont je suis descendant à la septième génération connaît une orthographe différente par rapport à son papa au niveau du nom puisqu'il passe de Rit à Rhit. Né en 1757 à Anjouin, il y décédera quelques mois avant son géniteur en décembre 1788 et peu de temps après son mariage avec Rose Doloire en novembre 1786 à Maray dans le département du Loir-et-Cher. Il aura eu tout de même le temps d'avoir un enfant qu'il nommera donc Simon.
Ce dernier, le troisième, mon Sosa 74, est au coeur d'une épine généalogique importante de mon arbre dont j'ai parlé il y a quelques années. Ayant exercé les professions de cultivateur, laboureur, fermier, vigneron et journalier, il est né en 1787 à Maray. Il s'est marié à deux reprises à Genouilly dans le département du Cher en 1809 et en 1826 avant de décéder à Anjouin en 1854. Il a eu sept enfants issus de son premier mariage et encore sept issus de sa seconde union soit quatorze au total, le dernier se prénommant Simon.
Ce quatrième n'est pas un de mes Sosas mais je suis son neveu à la cinquième génération. Il a vu le jour en mai 1844 à Genouilly avant de se marier en décembre 1875 à Luçay-le-Libre dans le département de l'Indre avec Marie Louise Marguerite Geoffroy. Il a exercé les professions de journalier et de cultivateur avant de décéder en septembre 1923 à Gracay dans le département du Cher sans avoir eu, à ma connaissance, d'enfants et donc pas de cinquième Simon.
A demain pour la lettre R !
mardi 19 novembre 2019
#ChallengeAZ : P comme Pierre Rhit
En ce jour un peu spécial, puisque ma seconde fille fête ses 8 ans aujourd'hui, on arrive à la lettre P du #ChallengeAZ. L'occasion, pour moi, de vous parler d'un ancêtre qui a connu une ascension sociale plutôt intéressante et qui est l'homonyme parfait de mon papa : Pierre Rhit dont je suis le neveu à la 5éme génération.
Il est né le 16 septembre 1835 à Genouilly dans le département du Cher et est le fils de Simon Rhit, mon Sosa 74 qui a été cultivateur, laboureur, fermier, vigneron et journalier ainsi que de Marie-Louise Petat, ma Sosa 75 qui, elle, a été domestique, ménagère et ouvrière.
En retraçant son parcours, on remarque qu'il vivait à Nohant-en-Gracay, à quelques kilomètres de sa commune de naissance, en 1856 et y exerçait la profession de jardinier avant de partir vivre à Paris puisqu'on retrouve sa trace à l'occasion du mariage de sa soeur Julie à l'occasion duquel il est témoin en 1864 au Boulevard de Malesherbes à Paris où il travaille comme valet de chambre.
Il se marie le 30 avril 1874 dans le 8éme arrondissement de Paris avec Cecile Therese Deglesne, une femme de chambre originaire d'Annonay en Ardèche, avec qui il aura deux enfants : Gabrielle Marie Louise en 1875 et Henri Joseph en 1877, période pendant laquelle il deviendra maître d'hôtel et habitera tour à tour au 110 Boulevard Haussmann et au 102 Faubourg Saint-Honoré, deux adresses assez "huppées" de la capitale, avant de décrocher un poste d'employé à la Banque de France au tout début du vingtième siècle.
Il décède malheureusement le 10 janvier en 1911 alors qu'il est en retraite, considéré comme rentier et habite au 32 Rue des Batignolles à Paris.
A demain pour la lettre Q !
Il est né le 16 septembre 1835 à Genouilly dans le département du Cher et est le fils de Simon Rhit, mon Sosa 74 qui a été cultivateur, laboureur, fermier, vigneron et journalier ainsi que de Marie-Louise Petat, ma Sosa 75 qui, elle, a été domestique, ménagère et ouvrière.
En retraçant son parcours, on remarque qu'il vivait à Nohant-en-Gracay, à quelques kilomètres de sa commune de naissance, en 1856 et y exerçait la profession de jardinier avant de partir vivre à Paris puisqu'on retrouve sa trace à l'occasion du mariage de sa soeur Julie à l'occasion duquel il est témoin en 1864 au Boulevard de Malesherbes à Paris où il travaille comme valet de chambre.
Il se marie le 30 avril 1874 dans le 8éme arrondissement de Paris avec Cecile Therese Deglesne, une femme de chambre originaire d'Annonay en Ardèche, avec qui il aura deux enfants : Gabrielle Marie Louise en 1875 et Henri Joseph en 1877, période pendant laquelle il deviendra maître d'hôtel et habitera tour à tour au 110 Boulevard Haussmann et au 102 Faubourg Saint-Honoré, deux adresses assez "huppées" de la capitale, avant de décrocher un poste d'employé à la Banque de France au tout début du vingtième siècle.
Il décède malheureusement le 10 janvier en 1911 alors qu'il est en retraite, considéré comme rentier et habite au 32 Rue des Batignolles à Paris.
A demain pour la lettre Q !
lundi 18 novembre 2019
#ChallengeAZ : O comme Olivier Polle
Nouveau lundi, nouvelle semaine et nouvelle lettre pour le #ChallengeAZ et cette lettre est la lettre O. On va remonter loin dans le temps aujourd'hui avec Olivier Polle, mon Sosa 1604, dont je suis, à la fois, le descendant à la dixième et à la onzième génération ( oui oui c'est quelque chose de possible... ).
Il est né à une date qui m'est encore inconnue mais qui se situe certainement au début du 17éme siècle et sûrement à Aubigny-au-Bac dans le département du Nord.
Il s'est marié, encore une fois à une date et dans un lieu que je ne connais pas, avec une certaine Adrienne Wiboult avec qui il aura, à ma connaissance, deux enfants : François et Marie Barbe.
Il est décédé le 23 juillet 1683 à Aubigny-au-Bac, une commune du département du Nord dans laquelle ont vécu un grand nombre de mes ancêtres.
A demain pour la lettre P !
Il est né à une date qui m'est encore inconnue mais qui se situe certainement au début du 17éme siècle et sûrement à Aubigny-au-Bac dans le département du Nord.
Il s'est marié, encore une fois à une date et dans un lieu que je ne connais pas, avec une certaine Adrienne Wiboult avec qui il aura, à ma connaissance, deux enfants : François et Marie Barbe.
Il est décédé le 23 juillet 1683 à Aubigny-au-Bac, une commune du département du Nord dans laquelle ont vécu un grand nombre de mes ancêtres.
A demain pour la lettre P !
samedi 16 novembre 2019
#ChallengeAZ : N comme Noelle Deloffre
En ce samedi, avant la tréve hebdomadaire dominicale, nous arrivons à la lettre N du #ChallengeAZ. A cette occasion je vais vous parler de ma Sosa 853 Noëlle Deloffre dont je suis le descendant à la neuvième génération.
Née vers 1693, une année où la France a connu une période de grande famine, elle est la fille de Pierre Deloffre et Jeanne Catherine Goguillon.
D'après le contrat de mariage qui date du 30 juin 1718 et qui a été établi à Douai dans le département du Nord, elle s'est mariée avec Pierre Pollart avec qui elle aura quatre enfants : Marie Anne Catherine, Pierre François, Séverin et Augustin.
Elle finira par décéder le 22 décembre 1763 à l'âge supposée de 70 ans à Brunémont dans le département du Nord.
A lundi pour la lettre O !
Née vers 1693, une année où la France a connu une période de grande famine, elle est la fille de Pierre Deloffre et Jeanne Catherine Goguillon.
D'après le contrat de mariage qui date du 30 juin 1718 et qui a été établi à Douai dans le département du Nord, elle s'est mariée avec Pierre Pollart avec qui elle aura quatre enfants : Marie Anne Catherine, Pierre François, Séverin et Augustin.
Elle finira par décéder le 22 décembre 1763 à l'âge supposée de 70 ans à Brunémont dans le département du Nord.
A lundi pour la lettre O !
#ChallengeAZ : M comme Marie Bonnetat
Je continue de rattraper mon retard sur le #ChallengeAZ en ce samedi en abordant maintenant la lettre M et en en profitant pour vous parler de Marie Bonnetat qui est ma Sosa 593 c'est-à-dire que je suis son descendant à la neuvième génération.
Marie est née le 21 avril 1695 à Bagneux dans le département de l'Indre. Ses parents sont Jean Bonnetat et Renée Saunier.
Au cours de sa vie mouvementée, elle va se marier à trois reprises : une première fois à une date inconnue avec mon Sosa 592 Pierre Ry, une seconde fois 19 octobre 1730 à Bagneux avec François Maupoux et une troisième fois le 6 octobre 1733 à Anjouin qui se situe également dans le département de l'Indre avec François Dedyon.
Elle aura douze enfants issus de sa première union, deux enfants issus de sa seconde union et deux enfants issus de sa troisième union soit seize au total mais beaucoup vont mourir à des âges plutôt précoces.
A 68 ans, elle s'éteint le 14 juin 1763 à Anjouin dans la commune dans laquelle elle s'est mariée pour la troisième fois.
A tout à l'heure pour la lettre N !
Marie est née le 21 avril 1695 à Bagneux dans le département de l'Indre. Ses parents sont Jean Bonnetat et Renée Saunier.
Au cours de sa vie mouvementée, elle va se marier à trois reprises : une première fois à une date inconnue avec mon Sosa 592 Pierre Ry, une seconde fois 19 octobre 1730 à Bagneux avec François Maupoux et une troisième fois le 6 octobre 1733 à Anjouin qui se situe également dans le département de l'Indre avec François Dedyon.
Elle aura douze enfants issus de sa première union, deux enfants issus de sa seconde union et deux enfants issus de sa troisième union soit seize au total mais beaucoup vont mourir à des âges plutôt précoces.
A 68 ans, elle s'éteint le 14 juin 1763 à Anjouin dans la commune dans laquelle elle s'est mariée pour la troisième fois.
A tout à l'heure pour la lettre N !
#ChallengeAZ : L comme Louis Rhit
Mes derniers jours ayant été très chargés, j'ai deux journées de retard sur le #ChallengeAZ que je compte rattraper aujourd'hui. On commence donc par la lettre L.
Louis Rhit, dont les arrière-grands-parents, Simon Rit et Marie Anne Montigny, sont mes ancêtres à la huitième génération est né le 18 novembre 1812 à Anjouin dans le département de l'Indre. Ses parents sont François Rhit, laboureur et Magdeleine Gapteau, domestique.
Il va perdre sa maman à l'âge de 11 ans et son papa à l'âge de 15 ans avant de se marier, plutôt tardivement pour l'époque, à l'âge de 31 ans le 6 février 1844 dans la ville où il est né avec Solange Petat qui exerce la profession de ménagère alors que lui est journalier.
Peu de temps après son union avec son épouse, le 5 décembre 1844, naît celui qui sera son seul et unique fils qui portera le même prénom que lui car il décédera peu de temps après le 26 septembre 1846 dans la commune dans laquelle il a vu le jour.
A tout de suite pour la lettre M !
Louis Rhit, dont les arrière-grands-parents, Simon Rit et Marie Anne Montigny, sont mes ancêtres à la huitième génération est né le 18 novembre 1812 à Anjouin dans le département de l'Indre. Ses parents sont François Rhit, laboureur et Magdeleine Gapteau, domestique.
Il va perdre sa maman à l'âge de 11 ans et son papa à l'âge de 15 ans avant de se marier, plutôt tardivement pour l'époque, à l'âge de 31 ans le 6 février 1844 dans la ville où il est né avec Solange Petat qui exerce la profession de ménagère alors que lui est journalier.
Peu de temps après son union avec son épouse, le 5 décembre 1844, naît celui qui sera son seul et unique fils qui portera le même prénom que lui car il décédera peu de temps après le 26 septembre 1846 dans la commune dans laquelle il a vu le jour.
A tout de suite pour la lettre M !
mercredi 13 novembre 2019
#ChallengeAZ : K comme Khalfa Samak
Aujourd'hui, ce n'est pas la lettre la plus évidente du #ChallengeAZ, c'est la lettre K. A cette occasion, je vais vous parler de Khalfa Samak qui est mon Sosa 82 c'est-à-dire que je suis son descendant à la sixième génération.
Je sais malheureusement peu de choses sur lui. Il est né vers 1823 à Constantine en Algérie, ses parents se nommant Kalfallah Chamak ( notez la différence d'orthographe entre le père et le fils au niveau du nom ) et M'Barka Nakache.
Ayant exercé la profession de passementier, il s'est marié avec Djermouma Laloum à une date qui m'est encore inconnue et avec qui il aura apparemment quatre enfants avant de disparaître le 16 juillet 1876 à l'âge de 53 ans à Constantine dans la ville dans laquelle il a vu le jour.
A demain pour la lettre L !
Je sais malheureusement peu de choses sur lui. Il est né vers 1823 à Constantine en Algérie, ses parents se nommant Kalfallah Chamak ( notez la différence d'orthographe entre le père et le fils au niveau du nom ) et M'Barka Nakache.
Ayant exercé la profession de passementier, il s'est marié avec Djermouma Laloum à une date qui m'est encore inconnue et avec qui il aura apparemment quatre enfants avant de disparaître le 16 juillet 1876 à l'âge de 53 ans à Constantine dans la ville dans laquelle il a vu le jour.
A demain pour la lettre L !
mardi 12 novembre 2019
#ChallengeAZ : J comme Jean Jacquet
Nous arrivons à la lettre J aujourd'hui dans le #ChallegeAZ et j'ai décidé de vous parler d'un homme qui est mon Sosa 484 et qui a un prénom ainsi qu'un nom de famille qui commence par cette lettre. Son nom est Jean Jacquet et je suis son descendant à la 8éme génération.
Fils de Thierry Jacquet, berger de son état, et de Marguerite Noizet, il est né le 5 février 1701 à Cernion dans le département des Ardennes.
Il se marie le 29 janvier 1730 à Aubigny-les-Pothées toujours dans les Ardennes ( ce qui est marrant c'est que j'ai aussi beaucoup d'ancêtres qui ont vécu dans un autre Aubigny : Aubigny-au-Bac dans le Nord ) avec Jeanne Marguerite Cophignon avec qui il a eu, à ma connaissance, huit enfants.
Après avoir été toute sa vie berger comme son père mais aussi comme son fils Louis, mon Sosa 242; il décède malheureusement le 1er août 1773 à l'âge plutôt respectable de 72 ans durant un été caniculaire pendant lequel il faisait des températures à Paris allant jusqu'à 40°C à l'ombre.
A demain pour la lettre K !
Fils de Thierry Jacquet, berger de son état, et de Marguerite Noizet, il est né le 5 février 1701 à Cernion dans le département des Ardennes.
Il se marie le 29 janvier 1730 à Aubigny-les-Pothées toujours dans les Ardennes ( ce qui est marrant c'est que j'ai aussi beaucoup d'ancêtres qui ont vécu dans un autre Aubigny : Aubigny-au-Bac dans le Nord ) avec Jeanne Marguerite Cophignon avec qui il a eu, à ma connaissance, huit enfants.
Après avoir été toute sa vie berger comme son père mais aussi comme son fils Louis, mon Sosa 242; il décède malheureusement le 1er août 1773 à l'âge plutôt respectable de 72 ans durant un été caniculaire pendant lequel il faisait des températures à Paris allant jusqu'à 40°C à l'ombre.
A demain pour la lettre K !
lundi 11 novembre 2019
#ChallengeAZ : I comme Isaac Aouizerate
En ce jour du 11 novembre, synonyme d'armistice de la première guerre mondiale, et à l'occasion de l'évocation de la lettre I du #ChallengeAZ, je vais vous parler d'un des mes ancêtres qui a participé à ce conflit : mon Sosa 20, Isaac Aouizerate, qui n'est autre que le grand-père paternel de ma grand-mère paternelle.
Ce dernier, fils de Fredj Aouizerate qui a été brocanteur, cordonnier, commerçant et sabotier ainsi que de de Mamah Chamak qui a travaillé comme couturière et ménagère, est venu au monde le 4 mars 1873 à Constantine en Algérie. Il est l'aîné des huit enfants que ses parents ont eus et a exercé les professions d'employé de commerce et de... musicien.
Il a eu quatre enfants ( deux filles et deux garçons ) suite à son union avec Aziza Guedj, couturière, le 13 décembre 1893 à Constantine.
En ce qui concerne son histoire militaire, il a été incorporé au 2éme régiment des zouaves à compter du 13 novembre 1894 et passé dans la disponibilité le 13 octobre 1895. Puis a accompli une première période d'exercice dans le 3éme régiment des zouaves du 26 septembre au 23 octobre 1898. Il a été réformé n°2 par la commission spéciale de Constantine pour perte de la vision de l'oeil gauche dans la séance du 5 aout 1903. Il a malgré tout participé à la "grande guerre" puisqu'il a été convoqué le 1er décembre 1915 à la 21éme section d'infirmiers et libéré définitivement de toutes obligations militaires le 1er octobre 1921.
Cet homme d'1 mètre 56 aux cheveux noirs et aux yeux bleus a habité dans divers endroits de Constantine ( rue Négrier, rue Guignard, rue Caraman ) avant de décéder le 26 août 1925 à l'âge de 52 ans dans cette ville dans laquelle il a toujours vécu.
A demain pour la lettre J !
Ce dernier, fils de Fredj Aouizerate qui a été brocanteur, cordonnier, commerçant et sabotier ainsi que de de Mamah Chamak qui a travaillé comme couturière et ménagère, est venu au monde le 4 mars 1873 à Constantine en Algérie. Il est l'aîné des huit enfants que ses parents ont eus et a exercé les professions d'employé de commerce et de... musicien.
Il a eu quatre enfants ( deux filles et deux garçons ) suite à son union avec Aziza Guedj, couturière, le 13 décembre 1893 à Constantine.
En ce qui concerne son histoire militaire, il a été incorporé au 2éme régiment des zouaves à compter du 13 novembre 1894 et passé dans la disponibilité le 13 octobre 1895. Puis a accompli une première période d'exercice dans le 3éme régiment des zouaves du 26 septembre au 23 octobre 1898. Il a été réformé n°2 par la commission spéciale de Constantine pour perte de la vision de l'oeil gauche dans la séance du 5 aout 1903. Il a malgré tout participé à la "grande guerre" puisqu'il a été convoqué le 1er décembre 1915 à la 21éme section d'infirmiers et libéré définitivement de toutes obligations militaires le 1er octobre 1921.
Cet homme d'1 mètre 56 aux cheveux noirs et aux yeux bleus a habité dans divers endroits de Constantine ( rue Négrier, rue Guignard, rue Caraman ) avant de décéder le 26 août 1925 à l'âge de 52 ans dans cette ville dans laquelle il a toujours vécu.
A demain pour la lettre J !
samedi 9 novembre 2019
#ChallengeAZ : H comme Henry Rhit
En ce samedi, on passe à la lettre H du #ChallengeAZ et j'ai donc choisi de vous parler de Henry Rhit qui porte le même nom de famille que moi puisque mes ancêtres à la sixième génération Simon Rhit et Marie-Louise Petat sont les grands-parents de ce dernier.
Il est né le 17 août 1869 à Genouilly dans le Cher, une commune dans laquelle j'ai beaucoup d'ancêtres. Fils de Claude Rhit qui a été laboureur, cultivateur et journalier et de Louise Popineau, ménagère, il a brièvement exercé la profession de cultivateur puisqu'il est parti rapidement en détachement le 13 novembre 1890 en garnison à Langres dans la Haute-Marne en tant que soldat du 134éme régiment d'infanterie de ligne.
L'histoire militaire et la vie de ce garçon de 1 mètre 57 seront toutes les deux brèves puisqu'il est décédé le 20 avril 1891 à l'hôpital militaire de Langres d'une méningite aigue à l'âge précoce de 21 ans sans avoir eu le temps de se marier et d'avoir d'enfants.
A lundi pour la lettre I !
Il est né le 17 août 1869 à Genouilly dans le Cher, une commune dans laquelle j'ai beaucoup d'ancêtres. Fils de Claude Rhit qui a été laboureur, cultivateur et journalier et de Louise Popineau, ménagère, il a brièvement exercé la profession de cultivateur puisqu'il est parti rapidement en détachement le 13 novembre 1890 en garnison à Langres dans la Haute-Marne en tant que soldat du 134éme régiment d'infanterie de ligne.
L'histoire militaire et la vie de ce garçon de 1 mètre 57 seront toutes les deux brèves puisqu'il est décédé le 20 avril 1891 à l'hôpital militaire de Langres d'une méningite aigue à l'âge précoce de 21 ans sans avoir eu le temps de se marier et d'avoir d'enfants.
A lundi pour la lettre I !
vendredi 8 novembre 2019
#ChallengeAZ : G comme Genevieve Boitard
Pour la lettre G du #ChallengeAZ, j'aurais pu faire le choix de vous parler de moi puisque je m'appelle Gregory mais cela aurait été un poil trop égocentrique, non ? Donc je vais plutôt vous conter une petite partie de la vie de ma Sosa 301 Genevieve Boitard dont je suis le descendant à la huitième génération.
Fille d'Etienne Boitard ( ou Boutard selon les actes ), laboureur et vigneron et d'Anne Gouard, elle a vu le jour le 3 avril 1715 à Saint-Outrille dans le département du Cher.
Manouvriére de son état donc ayant sûrement vécu dans la pauvreté toute sa vie, elle s'est mariée deux fois : la première en 1730 dans sa commune de naissance avec un certain Georges Leveille qui est décédé en 1743 et la seconde, deux ans plus tard toujours au même endroit en juin 1745 avec mon Sosa 300 Pierre Petat qui a été journalier et manoeuvre.
Elle a eu cinq enfants lors de sa première union et de nouveau cinq autres lors de sa seconde ce qui fait dix enfants au total mais malheureusement, comme c'était souvent le cas à cette époque dans les régions rurales notamment, certains sont morts prématurément.
Genevieve, elle, a quitté ce monde le 19 septembre 1775, année où la France a connu une grande famine, à l'âge de 60 ans dans la localité où elle est née.
A demain pour la lettre H !
Fille d'Etienne Boitard ( ou Boutard selon les actes ), laboureur et vigneron et d'Anne Gouard, elle a vu le jour le 3 avril 1715 à Saint-Outrille dans le département du Cher.
Manouvriére de son état donc ayant sûrement vécu dans la pauvreté toute sa vie, elle s'est mariée deux fois : la première en 1730 dans sa commune de naissance avec un certain Georges Leveille qui est décédé en 1743 et la seconde, deux ans plus tard toujours au même endroit en juin 1745 avec mon Sosa 300 Pierre Petat qui a été journalier et manoeuvre.
Elle a eu cinq enfants lors de sa première union et de nouveau cinq autres lors de sa seconde ce qui fait dix enfants au total mais malheureusement, comme c'était souvent le cas à cette époque dans les régions rurales notamment, certains sont morts prématurément.
Genevieve, elle, a quitté ce monde le 19 septembre 1775, année où la France a connu une grande famine, à l'âge de 60 ans dans la localité où elle est née.
A demain pour la lettre H !
jeudi 7 novembre 2019
#ChallengeAZ : F comme Fredj Aouizerate
Aujourd'hui, on va en Algérie pour le #ChallengeAZ. Par le biais de ma grand-mère paternelle, j'ai des origines dans ce pays aujourd'hui indépendant mais qui a été colonisé par la France jusqu'en 1962.
On va parler de Fredj Aouizerate, mon Sosa 40 c'est-à-dire que je suis son descendant à la cinquième génération. Il a été brocanteur, commerçant, sabotier et cordonnier.
Fils de Mardochee Aouizerate, passementier ( fabricant ou vendeur de bandes de tissu servant d'ornement en bordure d'un vêtement ou d'une teinture ) et de Nedjma Sabbah, il est né le 14 janvier 1848 à Constantine.
Il se marie le 10 janvier 1872 à Constantine avec Mamah Chamak qui était couturière et ménagère et avec elle, il a eu huit enfants.
Ayant vécu dans la mangnifique ville de Constantine toute sa vie ( à la rue Négrier et à la rue Guignard ), il y décéda le 15 août 1907 à l'âge de 59 ans.
A demain pour la lettre G !
On va parler de Fredj Aouizerate, mon Sosa 40 c'est-à-dire que je suis son descendant à la cinquième génération. Il a été brocanteur, commerçant, sabotier et cordonnier.
Fils de Mardochee Aouizerate, passementier ( fabricant ou vendeur de bandes de tissu servant d'ornement en bordure d'un vêtement ou d'une teinture ) et de Nedjma Sabbah, il est né le 14 janvier 1848 à Constantine.
Il se marie le 10 janvier 1872 à Constantine avec Mamah Chamak qui était couturière et ménagère et avec elle, il a eu huit enfants.
Ayant vécu dans la mangnifique ville de Constantine toute sa vie ( à la rue Négrier et à la rue Guignard ), il y décéda le 15 août 1907 à l'âge de 59 ans.
A demain pour la lettre G !
mercredi 6 novembre 2019
#ChallengeAZ : E comme Etienne Bonnetat
Pour la lettre E, pour la première fois de ce #ChallengeAZ, je n'évoque pas le cas d'un Sosa mais du frère de ma Sosa 593, Etienne Bonnetat, frère de Marie Bonnetat. Je suis son neveu à la neuvième génération.
Fils de Jean Bonnetat et de Renée Saunier, il est né le 23 mai 1698 à Bagneux dans le département de l'Indre dans le Centre.
Ayant été laboureur tout au long de sa vie comme la majeure partie des garçons de sa famille, il s'est marié dans cette commune le 5 août 1726 avec Anne Echard et y est décédé le 19 juillet 1739 assez "prématurément" à l'âge de 41 ans après avoir eu sept enfants, le plus tragique étant que son dernier prénommé René était âgé d'à peine 4 mois lorsque ce malheureux événement est survenu.
A demain pour la lettre F !
Fils de Jean Bonnetat et de Renée Saunier, il est né le 23 mai 1698 à Bagneux dans le département de l'Indre dans le Centre.
Ayant été laboureur tout au long de sa vie comme la majeure partie des garçons de sa famille, il s'est marié dans cette commune le 5 août 1726 avec Anne Echard et y est décédé le 19 juillet 1739 assez "prématurément" à l'âge de 41 ans après avoir eu sept enfants, le plus tragique étant que son dernier prénommé René était âgé d'à peine 4 mois lorsque ce malheureux événement est survenu.
A demain pour la lettre F !
mardi 5 novembre 2019
#ChallengeAZ : D comme Dionise Buirette
Pour la lettre D, je vais vous présenter celle qui est ma Sosa 1597 ( oui ça fait beaucoup lol ) c'est-à-dire que je suis son descendant à la dixième génération : Dionise Buirette.
Née le 9 octobre 1678 à Epinoy dans le département du Pas-de-Calais, elle est la fille de Michel Buirette et Agnés Delattre. J'aime beaucoup son prénom qui est un dérivé du prénom Denise et qui provient du mot grec "dionysos" qui signifie "Dieu de la vigne".
Le 11 janvier 1711, elle se marie avec Jean Jacques Herlin dans la commune où elle est née qui se situe à la frontière des départements du Nord et du Pas-de-Calais mais je n'ai malheureusement pas toujours trouvé la date à laquelle elle a quitté ce monde et c'est une énigme que je n'ai toujours pas résolu.
A demain pour la lettre E !
Née le 9 octobre 1678 à Epinoy dans le département du Pas-de-Calais, elle est la fille de Michel Buirette et Agnés Delattre. J'aime beaucoup son prénom qui est un dérivé du prénom Denise et qui provient du mot grec "dionysos" qui signifie "Dieu de la vigne".
Le 11 janvier 1711, elle se marie avec Jean Jacques Herlin dans la commune où elle est née qui se situe à la frontière des départements du Nord et du Pas-de-Calais mais je n'ai malheureusement pas toujours trouvé la date à laquelle elle a quitté ce monde et c'est une énigme que je n'ai toujours pas résolu.
A demain pour la lettre E !
lundi 4 novembre 2019
#ChallengeAZ : C comme Catherine Dumont
En ce lundi, pour la lettre C, j'évoque la vie de Catherine Dumont, mère d'Alfred Braye dont je vous ai parlé vendredi à l'occasion du démarrage du #ChallengeAZ de cette année qui, au vu des différentes publications que j'ai vu passé sur les réseaux sociaux, a apparemment démarré sur les chapeaux de roue.
Elle est donc ma Sosa 25 et a vu le jour le 26 septembre 1839 à Origny-Sainte-Benoîte en Picardie dans le département de l'Aisne à l'occasion d'un "voyage" que faisait sa génitrice chez un dénommé François Nicolas Coulon. Ses parents sont originaires d'Aubigny-au-Bac dans le Nord.
A 31 ans, Catherine se marie le 17 avril 1871 à Aubigny-au-Bac avec Pierre Joseph Braye, originaire de la commune. Par la suite, elle aura six enfants et en adoptera un : Léandre Pradeau.
Après avoir exercé les professions de journalière et de ménagère, elle décède le 18 mars 1924 à Aubigny-au-Bac.
A demain pour la lettre D !
Elle est donc ma Sosa 25 et a vu le jour le 26 septembre 1839 à Origny-Sainte-Benoîte en Picardie dans le département de l'Aisne à l'occasion d'un "voyage" que faisait sa génitrice chez un dénommé François Nicolas Coulon. Ses parents sont originaires d'Aubigny-au-Bac dans le Nord.
A 31 ans, Catherine se marie le 17 avril 1871 à Aubigny-au-Bac avec Pierre Joseph Braye, originaire de la commune. Par la suite, elle aura six enfants et en adoptera un : Léandre Pradeau.
Après avoir exercé les professions de journalière et de ménagère, elle décède le 18 mars 1924 à Aubigny-au-Bac.
A demain pour la lettre D !
samedi 2 novembre 2019
#ChallengeAZ : B comme Benoit Duforet
A l'occasion du second jour du #ChallengeAZ, je vais vous parler de Benoit Duforet qui est mon Sosa 868 : je suis descendant à la 9éme génération.
Je sais malheureusement peu de choses sur cet ancêtre-là. Il serait né vers 1660 certainement dans le Pas-de-Calais à Palluel ou Oisy-le-Verger d'après mes recherches et je ne connais pas l'identité de ses parents. Il s'est marié le 26 novembre 1693 à Oisy-le-Verger dans le département du Pas-de-Calais avec la dénommée Marie Marguerite Goguillon. De leur union, naîtra mon Sosa 434 Hilaire Duforet le 9 novembre 1701 dans la commune dans laquelle ses parents se sont mariés mais aussi, apparemment, sept autre enfants.
Il s'est éteint le 20 mai 1720, apparemment vers l'âge de 60 ans, là ou il a passé la plus grande partie de sa vie : à Oisy-le-Verger, une ville qui a porté en fait le nom d'Oisy jusqu'au 19éme siècle, moment auquel le Verger a été rajouté pour qu'elle soit différenciée des autres Oisy en France et en Belgique.
A demain pour la lettre C !
Je sais malheureusement peu de choses sur cet ancêtre-là. Il serait né vers 1660 certainement dans le Pas-de-Calais à Palluel ou Oisy-le-Verger d'après mes recherches et je ne connais pas l'identité de ses parents. Il s'est marié le 26 novembre 1693 à Oisy-le-Verger dans le département du Pas-de-Calais avec la dénommée Marie Marguerite Goguillon. De leur union, naîtra mon Sosa 434 Hilaire Duforet le 9 novembre 1701 dans la commune dans laquelle ses parents se sont mariés mais aussi, apparemment, sept autre enfants.
Il s'est éteint le 20 mai 1720, apparemment vers l'âge de 60 ans, là ou il a passé la plus grande partie de sa vie : à Oisy-le-Verger, une ville qui a porté en fait le nom d'Oisy jusqu'au 19éme siècle, moment auquel le Verger a été rajouté pour qu'elle soit différenciée des autres Oisy en France et en Belgique.
A demain pour la lettre C !
vendredi 1 novembre 2019
#ChallengeAZ : A comme Alfred Braye
Alfred Braye est mon Sosa 12, il est le père du père de ma mère. Il est né le 3 février 1878 à Aubigny-au-Bac dans le département du Nord. Dans sa vie, il a exercé tour à tour plusieurs professions : marinier ( marin
d'eau douce assurant le transport des marchandises ), journalier, ouvrier agricole et charretier ( conducteur de charrette ) ce qui tend à faire penser qu'il était quand même assez pauvre.
Châtain aux yeux bleus ( comme moi :) ) et mesurant 1 mètre 60, il se maria le 23 mars 1903 à Aubigny-au-Bac à l'âge de 25 ans avec une certaine Aline Polle. De cette union naîtront treize enfants entre 1904 et 1921, le petit dernier Rémi Louis étant mon grand-père maternel. Sa femme mourut en 1925 et lui le 13 février 1938 à Douai toujours dans le département du Nord à une quinzaine de kilomètres de sa commune de naissance où il a habité à différentes adresses au cours de sa vie se déplaçant sûrement au gré de ses activités professionnelles.
Il y a deux choses qui m'interpellent chez lui : la première étant qu'il avait un frère adoptif : Léandre Pradeau qui a été un des quatre témoins de son mariage et la seconde étant qu'il a été réformé au niveau militaire le 5 août 1914 à cause d'une ankylose incompléte de l'articulation de l'épaule droite.
A demain pour la lettre B !
Châtain aux yeux bleus ( comme moi :) ) et mesurant 1 mètre 60, il se maria le 23 mars 1903 à Aubigny-au-Bac à l'âge de 25 ans avec une certaine Aline Polle. De cette union naîtront treize enfants entre 1904 et 1921, le petit dernier Rémi Louis étant mon grand-père maternel. Sa femme mourut en 1925 et lui le 13 février 1938 à Douai toujours dans le département du Nord à une quinzaine de kilomètres de sa commune de naissance où il a habité à différentes adresses au cours de sa vie se déplaçant sûrement au gré de ses activités professionnelles.
Il y a deux choses qui m'interpellent chez lui : la première étant qu'il avait un frère adoptif : Léandre Pradeau qui a été un des quatre témoins de son mariage et la seconde étant qu'il a été réformé au niveau militaire le 5 août 1914 à cause d'une ankylose incompléte de l'articulation de l'épaule droite.
A demain pour la lettre B !
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