lundi 4 septembre 2017

Retour sur la terre de mes ancêtres : Les Chezeaux

  




   C'est la rentrée et j'ai décidé par la même occasion de faire ma rentrée blogo-généalogique si je puis m'exprimer ainsi. Voilà donc mon premier article suite au #ChallengeAZ du mois de juin qui a pris beaucoup de mon temps et de mon énergie mais qui a été, comme à chaque fois, un réel plaisir sous l'impulsion d'une Sophie Boudarel toujours aussi inspirante et inspirée. Je vais vous parler d'une sorte de pélerinage fait pendant mes vacances au mois d'août.


   En effet, je suis parti en vacances en famille avec femme et enfants, comme j'imagine beaucoup d'entre vous, pendant le mois d'août et sans rentrer dans les détails, pour la seconde année consécutive, nous avons opté pour une sorte de road-trip à travers la France avec des étapes plus ou moins longues et/ou plus ou moins prédéfinies. Une des étapes nous a emmené dans le département de la Vienne et l'étape suivante était située à Millau et je me suis rendu compte que pour aller d'un point à l'autre je passais tout prés d'une zone située dans le Berry où beaucoup de mes ancêtres ont vécu.
   J'ai donc fait une halte aux Chezeaux ( sorte de lieu-dit regroupant le Petit Chezeau et le Grand Chezeau ) à Anjouin dans l'Indre, mon sosa 148 Simon Rhit ayant vécu au Petit Chezeau avec sa femme qui n'est autre que ma sosa 149 Rose Doloire ( je vous ai d'ailleurs parlé de leur fils dans un de mes précédents articles ) et les parents de Simon mon sosa 296 Simon Rit a passé une partie de sa vie aux côtés de sa troisiéme épouse, ma sosa 297 Marie Anne Montigny au Grand Chezeau pour commencer avant de finir son existence au Petit Chezeau. Anne, qui a été le sujet d'un de mes #geneatheme a vécu aussi au Grand Chezeau.
   Cette halte fût quelque chose de magique pour moi, une sorte de voyage dans le temps, et j'ai pu voir les endroits où mes ancêtres ont vécu même si j'imagine que les lieux ont beaucoup changé en l'espace de 300 ans. En tout cas, c'est une campagne calme, paisible et retirée dans laquelle mes ascendants pour la plupart laboureur, cultivateur ou journalier ont passé leurs vies. Et bizarrement ( ou pas d'ailleurs ), je me sentais plutôt bien dans cet endroit qui, par moment, m'a semblé un peu familier et que quelque part, je découvrais sans forcément découvrir.

   Il me serait intéressant d'avoir des témoignages de votre part si vous avez vécu une expérience similaire et il est certain que si j'ai d'autres occasions de découvrir d'autres terres de mes ancêtres, je le ferai sans hésiter et je vous en parlerai encore une fois avec plaisir ! :-)

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